Aimer sa vie

Aimer sa vie c’est se nourrir de ses sens. Celui qui hait sa vie n’a pas à se rejeté mais plutôt à se contrôler. Luc 14,26 Si quelqu'un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses soeurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Certaines traduction utilisent le verbe haïr au lieu de préférer. Je ne crois pas qu’il faux se haïr mais plutôt de préférer la sauvegarde des autres, et cela peu demander beaucoup de sacrifices. Jean 12,25 Celui qui aime sa vie la perd ; celui qui s'en détache en ce monde la garde pour la vie éternelle, ici aussi, dans certaines traduction, le verbe haïr est employé pour haïr sa vie; peut-être que c’est la meilleur traduction considérant qu’un homme vie et l’autre tout proche meurt de faim. Pourtant les apôtres ont aussi bu et manger mais l’époux était là avec eux, puis le bon sens est de comprendre qu’il faut vivre aussi pour les autres, de se dévouer et être serviable.

La servitude est au cœur de la bible. Les exemples sont là pour nous guider et l’homme doit se servir de son intelligence et reconnaître que le guide est un atout pour son orientation. Le guide est infaillible, il s’adapte à toute mise à jour nécessaire aux travers les âges, sinon tous si adaptent. Pensons à une carte routière, d’ordinaire on ne fait que rajouter de nouvelles routes à l’ancienne carte, ainsi dans le nouveau testament Jésus est venu accomplir et non abolir. Mais Jésus dit qu’on ne met pas de vin nouveau dans de vieilles outres. Il annonce une réforme et la réforme est personnelle dans un but d’unification divine. Il faut reconnaître ces torts et s’amélioré, donc si déjà les peines sévères et même capitales étaient nécessaires pour encrer les bonnes valeurs et inciter que les autres s’améliorent, la prise de conscience est le chemin montré par Jésus. Jean 8,4 ils disent à Jésus : "Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. 8,5 Or dans la Loi Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ?" 8,6 Ils disaient cela pour le mettre à l'épreuve, afin d'avoir matière à l'accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol. 8,7 Comme ils persistaient à l'interroger, il se redressa et leur dit : "Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre !" 8,8 Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol. 8,9 Mais eux, entendant cela, s'en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu. 8,10 Alors, se redressant, Jésus lui dit : "Femme, où sont-ils ? Personne ne t'a condamnée ?" 8,11 Elle dit : "Personne, Seigneur." Alors Jésus dit : "Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus." 8,12 De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : "Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie."

Jésus se réfère à l’époux, ailleurs dans la bible la désobéissance de l’homme se compare à la prostitution, on peu donc comprendre la femme adultère comme étant l’homme pécheur de n’importe quel péché.

L’homme de l’ancien testament est semblable à celui d’aujourd’hui, mais le Dieu tout puissant n’est pas reconnu par tous et doit s’identifier au sein d’une colonisation pour que L’esprit prospère. Des temps sont durs, les guerres multiples, des régimes oppresseurs et diverses puissances établissent des climats conflictuels. La seul raison de vivre semble être la reconnaissance d’un Dieu libérateur. Un Dieu qui reconnais la justice, l’amour, la fidélité. Mais ce Dieu doit aussi montrer sa force et la nécessité de lui obéir ou de lui plaire.

De siècles en siècles la science appliqué de l’homme est la même et pas digne de mention, les changements varient qu’avec les nouveaux rois, les seuls différences entre les peuples sont leur valeur morale et leur inspiration divine. Le peuple choisi du tout puissant a témoigné de son histoire, un témoignage de justice et de bonnes valeurs. Une histoire aux frontières fragiles toujours disputé aujourd’hui sur terre mais aussi sans frontière sur terre et dans les cieux. Dans la bible Israël devient le nom du lieu espéré sur terre et dans les cieux.2000 ans ont passé avant la naissance d’un sauveur et aujourd’hui, 2000 ans plus tard, où qu’il soit, l’homme de foi, de toutes races et langue, espère en Dieu. Grâce à Jésus! Jean 4,24 Dieu est esprit, et ceux qui adorent, c'est dans l'esprit et la vérité qu'ils doivent adorer.

La misère est toujours sur terre, mais depuis Jésus Jean 14,26, le consolateur, le défenseur, le paraclet, l’esprit saint est disponible. Déjà, où les outils de science appliqué de l’homme étaient des plus rudimentaire, le peuple choisit voulait cultiver l’âme pour plaire à Dieu. Aujourd’hui, l’homme a plus de pouvoir donc plus de responsabilité pour aider son prochain. Mais Aujourd’hui, il y a certaines tendances affaiblissantes à remplacer, on oublie Dieu pour les sciences et le divertissement, le rapprochement avec les convoitises de toujours et la glorification de soi. Pourtant à tout ce que l’homme peu appliqué Dieu rappel l’entraide

Hébreux 13:12 C'est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.13:13 Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.13:14 Car nous n'avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.13:15 Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c'est-a-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom.13:16 N'oubliez pas la bienfaisance et l'entraide communautaire, car ce sont de tels sacrifices qui plaisent à Dieu.

Aujourd’hui je vois autour de moi dans le pays riche où je vis, qu’il y a certains mouvements pour l’entraide, ce qu’on qualifie d’œuvres de charité. Une philosophie du partage a des lueurs d’existence. Les artistes on une tendance athée mais philanthropique. L’amour fraternelle existe et si un poursuit un idéal pour aider, plusieurs l’accompagne. Il y a une conscience populaire pour le bénévole, certaines émissions télé en font la promotion par leur raison d’être mais cette amour aussi réel qu’elle soit est vraiment minime et biaisé par la promotion même partiel des participants où aussi la contribution de chacun est peu exigeante. Est-ce que l’homme peu vraiment subsisté par ses bon efforts? L’homme apprend des ses efforts, de ses erreurs, de ses réussites et de son histoire, mais l’homme a toujours eu du bon et la collectivité a depuis longtemps reconnu la nécessité du partage, que ce soit de biens pour la charité mais aussi le partage d’opinion par les mouvements démocratiques ou même les assemblés d’aïeux et religieux, mais malgré ses efforts l’histoire regorge de guerres et de profiteurs. Qui est Jésus? Un simple philanthrope? Un autre homme qui a reconnu la nécessité du partage? Non! Jésus ne demande pas de partager mais plutôt de tous donné. Maintenant ayant lui-même tout donné, il demeure à l’homme de partager. Pour savoir faire il faut reprendre le guide qu’est la bible et lire la parole. Dieu soit béni et que la paix vienne à régner sur toute la terre.