Tuesday, June 30, 2009

Communiquer la vérité

L’homme a le besoin de communiquer, l’isolement, être privé de ses semblables et du rapprochement physique le pousse à l’écriture ou la prière. Certains peuvent dire : Il est refoulé et pense pareillement aux autres, quel être extraordinaire, mais je crois que ce n’est que la nature qui prend place, l’inspiration découle du besoin de communiquer et l’inspiration plus divine, c’est le besoin de l’amour. L’homme a besoin de la vérité et d’une fondation ferme sinon ce qu’il construit ne peut tenir contre de réelles controverses.
Le mensonge c’est la mort car tôt ou tard le fondement engendré a ses failles et tout s’écroule. L’homme à qui on ment c’est aussi celui avec qui on ne communique pas, celui que l’on garde dans l’obscurité, celui qui est porté à l’écart, celui que l’on renie, celui que l’on calomnie, celui que l’on méprise. Celui avec qui on ne communique pas, c’est celui que l’on prive d’humanité. L’humanité, c’est ce que l’homme recherche comme l’amour et la vérité pour vivre entouré et heureux, mais la privation n’enlève pas la recherche de la vérité et le besoin de communiquer.
Certains diront que la vérité est relative pour chacun, par exemple, l’allégorie de la caverne de Platon, mais encore, aujourd’hui on veut jouer avec la vérité comme si c’était une loi de la physique où il est possible de construire un monde sans fautes par des faits imaginaires. La loi de la relativité ne se rapporte pas à l’information, comme j’ai entendu dire le président de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad, qui ne conteste pas ceux qui diffament l’historique et l’holocauste juive aux mains des Nazi, mais tente de se racheter disant que de toute façon ça na rien à voir avec sa région; il est simple de comprendre qu’il ne veut pas admettre de compassion mais surtout qu’il ne veut pas transmettre de compassion ou d’information. Pourtant l’ampleur des rapports, des témoignages devraient satisfaire le critère de vérité au détriment de dire que la masse est dans l’erreur et qu’un autre sauveur ou savant ou philosophe peux montrer le chemin.
La communication de bonne foi est le chemin de la vérité. Il n’y a pas de mal ni de honte à admettre ses torts lorsque l’on apprend, que l’on discute, que l’on communique. Le partage de connaissances fait plaisir à celui qui apprend, le donneur et le receveur. Il faut apprécier la valeur de la vérité qui construit sur une base solide.
Le monde moderne cherche toujours la vérité, mais ne se donne pas la peine de prendre de l’information. Certains veulent se laïciser gardant probablement comme prétexte le pouvoir de vérifier la vérité et de garder la liberté, ou tous simplement le sens religieux ne les rejoint pas. Les politiques laïques peuvent être plus gérables et universelles, mais l’homme a aussi besoin de morale, car où était la liberté sous Hitler ou un dictateur russe? La vérité c’est que l’homme a besoin d’amour mais ici je parle de morale, c’est que l’homme a besoin de morale, on cherche à remonter le morale d’un individu, d’une équipe, de troupes, d’un peuple. La morale peut donc être relative lorsqu’il y a une compétition, par contre on enseigne aussi à être bon ou mauvais perdants où il ne s’agit que d’un jeu.
L’homme est lent à se cultiver, c'est-à-dire évoluer. L’homme est lent à entreprendre des discussions et à partager son savoir et sa sagesse comme il est lent à avouer être dans l’erreur. Bien des mouvements existent par le simple refus de croire dans le bien fondé des croyances de l’autre, Car soit l’autre est oppressant ou simplement qu’il nous ignore. Pourtant l’autre peut tenir la vérité mais ne la suit pas nécessairement pour autant.
La démocratie, c’est une liberté très importante. Tout varie selon le choix d’une population, certaines limitent le temps en place d’un dirigent élu à un ou deux mandats, d’autres on plus de confiance en un choix éduqué et un scrutin honnête. Les partis politiques peuvent être très distincts comme la gauche, la droite, le centre et un « leader » charismatique ne tient pas nécessairement les meilleurs outils pouvant bonifier le besoin du moment, de là découle le besoin d’un choix éduqué et la nécessité d’informé la population. Le pays le plus puissant de notre époque c’est les États-Unis d’Amérique qui ont deux mandats possible pour leur dirigent et leur choix a porté se pays au bord du gouffre en huit ans…Il s’agit pourtant d’une population éduqué…
De faire de la politique une science est une réalité mais il faut aussi reconnaître que les membres votants et élus ne sont pas des machines et que la morale doit refléter de façon humaine le mandat entrepris, c’est que le fonctionnement d’un gouvernement doit aussi refléter le choix d’une population et cette population doit aussi s’assuré que tous ses membres ont une voix.
La morale étant variable pour chacun, si tous ont gouverneraient par amour Il n’y aurait plus de guerre et on saurait peut-être quoi faire avec les criminels qui deviendraient de moins en moins nombreux par le manque d’exemple. L’amour est ce qu’il y a de plus important et l’amour pourvoi. Malheureusement l’homme se limite trop souvent à sa petite famille et les voisins souffrent. J’avoue qu’il y a de l’ouverture et de l’entraide et cela fait du bien de le reconnaître.
La foi individuelle est ce que Dieu recherche et la foi est un don. La religion m’apparaît le lien par lequel l’homme peut évoluer, mais on oublie là une hiérarchie qui se prévaut du pouvoir. La démocratie a fait son chemin au travers les millénaires pourquoi les religieux n’ont-ils pas suivi? Il s’agit toujours d’hommes et non d’anges. Je suis chrétien et catholique par héritage et Dieu sait que les catholiques on fait bien des erreurs comme n’importe qui d’autres…Les catholiques ont leur saints et un pape qui n’est pas nécessairement un saint. S’il y avait eu plus de compétitions et d’élections dans ce système toujours d’un genre monarchique il y aurait eu plus de transparence. Jésus est aussi bien le Président des présidents comme le Premier Ministre des premiers ministres que le Roi des rois, et si Jésus ne perd pas son poste, c’est qu’Il est le fils unique de Dieu.
Je crois en Dieu qui veut mettre fin à la souffrance humaine, cette souffrance que l’homme peut guérir de lui-même, mais qui pour cela doit suivre l’exemple. Dieu veut mettre fin à tout sacrifice par l’obligeance humaine, c’est le Dieu de la vérité, Et pour qu’il soit reconnu il faut simplement le raconté puis en discuter. Jésus est cher à Dieu comme un fils unique, de son amour il a avoué l’humanité digne de l’amour paternel et céleste. Jésus a souffert jusqu’à la mort pour prouver son amour et le Père l’a ressuscité. Il est l’exemple et la porte pour la vie éternelle.
Il m’est bien pénible de vivre entouré d’ingratitude. Pour moi il est évident qu’une grande partie des libertés mondiales sont le fruit du christianisme directement ou indirectement. Le chrétien doit être charitable et donner la possibilité à l’autre de se réalisé au meilleur de son potentiel. Depuis des milliers d’années, des gouvernements et des puissances se sont approprié des religions en particulier le christianisme en oubliant leur valeur, leur message, à t’elle point que l’on associe le christianisme au capitalisme, Jésus qui a tous donné et même sa vie. Deuxième épître de Saint Paul aux Corinthiens 8,7-15 Puisque vous avez reçu largement tous les dons : la foi, la Parole et la connaissance de Dieu, cette ardeur et cet amour que vous tenez de nous, que votre geste de générosité soit large, lui aussi. 8,8 Ce n'est pas un ordre que j'exprime ; mais je vous parle de l'ardeur des autres Églises pour que vous me prouviez l'authenticité de votre charité. 8,9 Vous connaissez en effet la générosité de notre Seigneur Jésus Christ : lui qui est riche, il est devenu pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par sa pauvreté. 8,10 Pour cette collecte, je n'ai à vous donner qu'un simple avis : avec vous, il n'en faut pas plus, puisque c'est vous qui avez pris l'initiative non seulement de la réaliser, mais, dès l'an dernier, de la décider. 8,11 Maintenant, allez jusqu'au bout de la réalisation ; ainsi, comme vous avez mis votre cœur à décider, vous irez jusqu'au bout selon vos possibilités. 8,12 Quand on y met tout son cœur, on est accepté pour ce que l'on a ; peu importe ce que l'on n'a pas. 8,13 Il ne s'agit pas de vous mettre dans la gêne en soulageant les autres, il s'agit d'égalité. 8,14 En cette occasion, ce que vous avez en trop compensera ce qu'ils ont en moins, pour qu'un jour ce qu'ils auront en trop compense ce que vous aurez en moins, et cela fera l'égalité, 8,15 comme dit l'Écriture à propos de la manne : Celui qui en avait ramassé beaucoup n'a rien eu de plus, et celui qui en avait ramassé peu n'a manqué de rien.
Hier, j’ai été d’abord déçu puis choqué. J’écoute la télé et un jeune musicien gagne un concours. Tout ému il dit qu’après maintes reprises que c’est sa première victoire et il remercie le bon Dieu, ce qui fait beaucoup de bien d’entendre tant de spontanéité devenu rare, mais il se reprend et ricaneur dit que c’est peut-être grâce au diable et fait le signe habituel qui suscite l’imitation de ses confrères. Tant de possibilité pour bien faire et on choisi le mensonge, la destruction, la fondation pleine de faille, rappelant plutôt la mode de se moquer du diable plutôt que de bénir le bien. Puis un autre concours ou un aspirant comique reçoit des félicitations des juges et lui aussi à l’interview il semble vouloir se montrer apte en employant le nom du Christ comme patois ou jurons et le pire c’est que sa performance avait une sensibilité intellectuelle. Pour moi il est logique que quiconque aspirant à une valeur intellectuel ne refuse pas la lecture fondamentale d’une culture ancestrale, surtout lorsque l’on en est entourée. Le Nouveau Testament est un livre peu volumineux comparé à bien d’autre dans plusieurs bibliothèques familiales. Comment peut-on calomnié ceux qui prient pour les autres, qui espèrent pour les autres et qui font la charité pour les autres comme Jésus a donné l’exemple. Il m’apparaît insensé que quiconque lit un livre puisse par la suite y faire référence sans logique ou motivation.
Il faut savoir pardonner mais aussi apprendre à communiquer. Il est niaiseux de prendre des siècles pour évoluer lorsqu’il y a tant de moyens informatiques à notre disposition où on n’a même plus le besoin de savoir lire et que l’on peu écouté. On peu vouloir se croire meilleur mais occasion par-dessus occasion on choisi la recherche fautive de la gloire et on ne se gêne pas pour calomnier. On sacre à la télé sans porté d’excuse et d’autres s’en font presqu’une gloire où il n’y a pas de censures, comme si ça peu vraiment être libérateur et authentique.
Première épître de Saint Jean 4,8 Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour.
Dans le récit de l’évangile qui suit il m’apparaît possible que la maladie de la femme soit des hémorroïdes, un problème plutôt commun, mais la corrélation de l’âge de la jeune fille et la duré des souffrances de la malade me font aussi pensé à la menstruation, comme les souffrances de l’une cessent et les petites complications de l’autre commence; et c’est pourquoi j’ai écrit la petite phrase suivante comme message : Vivez sans souffrance, nourrissez vous et multipliez vous; c’est je crois un message voulu. Jésus demandait de ne pas révéler ses guérisons car il lui en est devenu impossible d’entrer dans les villes tellement les gens accouraient à son approche pour être soignés et Jésus voulait aussi prêcher sa parole.
Marc 5:21-43 Jésus dans la barque regagna l'autre rive, où une grande foule s'assembla près de lui. Il était au bord de la mer. 5:22 Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l'ayant aperçu, se jeta à ses pieds, 5:23 et lui adressa cette instante prière : Ma petite fille est à l'extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu'elle soit sauvée et qu'elle vive .5:24 Jésus s'en alla avec lui. Et une grande foule le suivait et le pressait. 5:25 Or, il y avait une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans. 5:26 Elle avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, elle avait dépensé tout ce qu'elle possédait, et elle n'avait éprouvé aucun soulagement, mais était allée plutôt en empirant. 5:27 Ayant entendu parler de Jésus, elle vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement. 5:28 Car elle disait : Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie. 5:29 Au même instant la perte de sang s'arrêta, et elle sentit dans son corps qu'elle était guérie de son mal. 5:30 Jésus connut aussitôt en lui-même qu'une force était sortie de lui ; et, se retournant au milieu de la foule, il dit : Qui a touché mes vêtements ? 5:31 Ses disciples lui dirent : Tu vois la foule qui te presse, et tu dis : Qui m'a touché ? 5:32 et il regardait autour de lui, pour voir celle qui avait fait cela. 5:33 La femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui s'était passé en elle, vint se jeter à ses pieds, et lui dit toute la vérité. 5:34 Mais Jésus lui dit : Ma fille, ta foi t'a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal. 5:35 Comme il parlait encore, survinrent de chez le chef de la synagogue des gens qui dirent : Ta fille est morte ; pourquoi importuner davantage le maître ? 5:36 Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement. 5:37 Et il ne permit à personne de l'accompagner, si ce n'est à Pierre, à Jacques, et à Jean, frère de Jacques. 5:38 Ils arrivèrent à la maison du chef de la synagogue, où Jésus vit une foule bruyante et des gens qui pleuraient et poussaient de grands cris. 5:39 Il entra, et leur dit : Pourquoi faites-vous du bruit, et pourquoi pleurez-vous ? L'enfant n'est pas morte, mais elle dort. 5:40 Et ils se moquaient de lui. Alors, ayant fait sortir tout le monde, il prit avec lui le père et la mère de l'enfant, et ceux qui l'avaient accompagné, et il entra là où était l'enfant. 5:41 Il la saisit par la main, et lui dit : Talitha koumi, ce qui signifie : Jeune fille, lève-toi, je te le dis. 5:42 Aussitôt la jeune fille se leva, et se mit à marcher ; car elle avait douze ans. Et ils furent dans un grand étonnement. 5:43 Jésus leur adressa de fortes recommandations, pour que personne ne sût la chose ; et il dit qu'on donnât à manger à la jeune fille.

Béni est le Seigneur Jésus le fils unique de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.

Monday, June 22, 2009

Il les créa mâle et femelle et les appela homme

Mathieu 11,11 "En vérité je vous le dis, parmi les enfants des femmes, il n'en a pas surgi de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le Royaume des Cieux est plus grand que lui.
Comme je l’ai déjà entendu dire et encore récemment, c’est que les rachetés du Christ sont les plus glorieux. Le Père et le fils sont éternels, le passé et le futur leur son égale. Tout ce que l’homme peut imaginer Dieu peut le réaliser, mais le Père retient l’homme à ses limites lui permettant ainsi de se réaliser lui-même au meilleur de ses capacités.
Des milliers d’années sont nécessaires pour instruire l’homme et encore aujourd’hui il peu cafouiller. Je crois que ce qui empêche l’homme de croire en Dieu c’est que l’homme se reconnaît insignifiant dans le sens qu’il lui est insensé de croire que le créateur de l’univers peut se penché sur l’humanité et même distinguer chacun d’entre nous; ainsi, bien des religions s’attardent plutôt à la sagesse de maître passé et réfutent la pertinence d’un créateur. C’est l’amour qui laisse croire en l’intérêt du Créateur, certains peuvent se pencher sur le besoin de sécurité mais c’est l’amour que Dieu peu vraiment partager.
Pourquoi avoir créé un homme aussi imparfait? Pour que l’amour conquière et que l’homme accède par choix à l’évolution souhaité. Si Dieu demande d’être saint, il faut essayer de l’être. Le chemin est long, aujourd’hui on préconise d’avantage les droits de l’homme où l’universalité semble plus atteignable; pourtant la parole est annoncée comme étant la vérité et cette vérité demeure infaillible depuis des milliers d’années pour tous ceux qui en sont atteint. Il est par contre malheureux que des charlatans se sont prévalu du message et que même certains on été démasqués sans pour autant être comme on dit défroqués. Tous les hommes sont pécheurs et méritent le pardon, mais l’étudiant mérite aussi de connaître les fautes et les faiblesses de l’enseignant. Évangile selon Saint Luc17, 1 Puis il dit à ses disciples : "Il est impossible que les scandales n'arrivent pas, mais malheur à celui par qui ils arrivent ! La parole est toujours vivante et où il y a toujours eu il y a encore une multitude de messagers honorables. Il est pourtant simple de se reconnaître minus et de faire verbalement de petites louanges au lieu de sombrer dans l’oublie totale des jurons, ainsi chacun se retrouverait minuscule mais obéissant à la servitude divine. Si les tumultes de la vie nous éloignent de la sainteté, il faut la reconnaître disponible et essayer de s’en approcher. La sainteté est disponible à l’homme : C’est la raison d’être de l’agneau pascale entouré de prophètes, de signes, et même de raison. L’agneau à qui on n’a pas brisé les os est la nourriture qui rachète de toutes fautes. Je comprends que les gens qui se disent né de nouveau sont vraiment choyés, souvent à cause qu’ils ont déjà vécu l’enfer, mais il y a aussi tous les autres qui ne prennent simplement pas la peine de lire la parole, d’en discuter et de comprendre.
Le passé et le futur se rejoignent historiquement pour l’homme, qui étudie le passé et aussi ses projets et projections, mais Dieu connaît tout avec certitude. L’homme communique difficilement avec les bêtes moins intelligentes et Dieu a mis des milliers d’années pour instruire la divinité à l’homme qui se montre aussi très bête. Le Père a sauvé Jésus en le ressuscitant, rachetant tous les hommes qui pouvaient aussi se croire insignifiant et invalide de sainteté, par le sang de Jésus et le don de la foi de l’Esprit Saint. J’aime bien rappelé que tous les hommes sont sauvés. Il y a beaucoup d’exigence pour atteindre la sainteté mais peu pour être reconnu par Dieu : Première épître de Saint Paul à Timothée Car si nous peinons et si nous combattons, c'est que nous avons mis notre espérance dans le Dieu vivant, qui est le Sauveur de tous les hommes, surtout des croyants.
L’intelligence de l’homme ne semble pas avoir évolué depuis son histoire, seulement son savoir a progressé et sa sagesse est aussi le fruit d’expériences enregistrés et enseignés. L’homme progresse grâce à la venue de savants, ces hommes aux savoir plutôt inné. L’homme est donc dépendant des dons de la nature que serait l’intelligence, mais que vaut cette intelligence sans l’amour? N’ayant pas de chainons manquant pour appuyer la thèse de l’évolution il apparaît bien possible que l’homme soit apparu de façon instantané, on peut y voir une mutation quelconque où l’homme demeure un don de la nature à lui-même. Ce qui importe c’est l’émancipation et comment y arrivé sur une base d’amour où la viabilité peut être éternelle.
La foi par Jésus libère et donne une évolution miraculeuse instantanée car l’univers est à l’écoute de la réalité. Évangile selon Saint Luc10, 9 guérissez ses malades et dites aux gens : Le Royaume de Dieu est tout proche de vous. Luc10, 17 Les 72 revinrent tout joyeux, disant : "Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom !" L’homme a la capacité de choisir mais il se laisse diriger par ses sens comme une bête toujours à la mode. Il préfère la cupidité, la volupté, tous ce qui peu enivré ses sens et l’excès le ravi au détriment de l’entraide et de la compassion. L’homme est soumis à aucune obligation physique ou mentale, c’est le choix qu’il fait qui réalise ce qu’il est, et de là combien s’adonne à la promotion des biens physiques oubliant le spirituel qui serait si simple à développer par la charité à autrui. Il y a seulement la liberté qui peu identifier l’homme où il peu choisir le bon ou le mauvais chemin, et encore le Christ est venu pour sauver, tous le monde égaré, par la grâce de la rédemption.

Béni est le Seigneur Jésus le fils unique de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.

Sunday, June 14, 2009

L'amour sur terre et dans les cieux

Tant qu’il y aura un homme sur terre qui fera du mal à un autre, le repentir sera nécessaire. Le sens de la croix c’est, un sang divin qui enlève la nécessité de tous sacrifice sauf celui de louange, c’est le chemin de la résurrection. L’envoyé de Dieu, le fils unique, l’exemple humain à suivre et le servant du Père qui rachète toutes incompréhensions, qui rachète aussi les affronts de celui qui le regrette, aura son plein sens dans le but d’améliorer la condition humaine pour une vie prolongée sur terre et dans les cieux.
Les hommes, trop souvent, ne peuvent s’empêcher de se glorifier au détriment de l’autre, et Dieu a rien à faire de la gloire de l’homme, Dieu est omniscient et n’a pas même besoin des prières de l’homme, mais il reconnait ce qui est méritoire. Dieu aime et Dieu sauve. Jésus est la pleine réalité des choses et a vécu sa réalité sans feindre.
Il y a bien des questions que l’on peut se poser et différentes affirmations à considérer, en voici quelques unes sans développement...
Est-ce-que Dieu existe?
Que sont les mérites de l’homme? L’homme est-il vraiment sans mérite devant Dieu?
Combien de fois avons-nous entendu dire quelque chose comme : Si Dieu existait vraiment il ne permettrait pas tant de souffrances?
Y a-t-il une vie après la mort?
Y a-t-il des esprits invisibles?
Il y a pourtant beaucoup de croyance dans l’invisible et pas toutes sont spirituelles, comme l’astrologie, L’ésotérisme, la pensée positive qui attire le positivisme universel.
Bien des philosophies sont des modes de vie sans vrai spiritualité.
Bien des hommes instruits ont étudié plusieurs philosophies, ce qui aide à avoir l’esprit critique ou à savoir distinguer ce qui nous convient vraiment.
Une chose qui fascine toujours l’humanité par son mystère, c’est la mort et la survie de l’esprit ou de l’âme et l’existence d’esprits.
Maintenant! Certains hommes, athées de toutes sortes soumis à diverses contraintes de la vie, sont satisfaits de vivre et ensuite de mourir pour l’éternité; des hommes dont le sens moral est aussi varié, ne sont pas sans grands apports au développement d’une société. Mais pour ceux qui croient en des forces invisibles dont entre autres l’astrologie, l’ésotérisme, la pensée positive qui attire le positivisme universel, il faut reconnaître que l’on peut s’approcher à différentes échelles de valeur et que, pour plusieurs, la plus grande admet une hiérarchie estimant une nature spirituelle et une intelligence qui se manifeste.
L’homme, surtout en sa jeunesse, est trop préoccupé à expérimenter sa vie où l’exigence naturelle lui rappel la procréation et les convoitises incitent les ambitions. Mais tout jeune on a la capacité de réfléchir et de reconnaître la situation de nos parents et du monde environnant. L’homme veut être aimé, les psychologues le reconnaissent et nous sommes tous d’accord. Je crois donc qu’il est plus naturel pour l’homme d’aimer que de haïr, mais je crois qu’il aime se limiter où il se reconnaît pleinement et que l’étrange lui cause, par choix, de l’adversité.
Toutes les civilisations sont politisées c'est-à-dire munies de règles sociales et de lois; des lois toujours en vigueurs dates de milliers d’années et certaines sont les mêmes que celles de Dieu comme tu ne tueras pas ton prochain, tu ne voleras pas. Oubliant la politique, ce qui caractérise les civilisations ce sont ses arts culturels et aujourd’hui plus commercialisé que jamais. L’art peu être le coté bohème de l’homme, le moyen de se réalisé et de partager sans vouloir conquérir, mais la chanson et la musique a vu naître des idoles qui font fortune et les goûts variés sont questionnables d’une génération à l’autre ; la mode a ses mannequins préférés, les athlètes les mieux payés peuvent nourrir des centaines de milliers d’affamés avec leurs centaines de millions de dollars.
Tant de vanité pour faire 1$, on oublie l’invisible, on se laisse emporter par les arts et l’action pour prendre soin du numéro 1, soi-même. Le besoin est pressant de développer ses aptitudes pour être performant dans le chef d’œuvres des puissants; on oublie l’invisible comme les affamés, et cela comme toujours, et on se moque de la mort pour triompher de la terre; et cela où le spectateur demeure en admiration. Il faut se poser la question qui traite du bien et du mal. Y a-t-il un monde qui a à gagner de la charité ou de l’insouciance de l’homme?
On peu croire ou ne pas croire en Dieu, mais l’homme est fait pour aimer. Maintenant qu’elle valeur donne-t-on à l’amour? Malheureusement trop de publicité associe l’amour à la sexualité, et c’est pourtant une vérité où l’homme tisse des liens et forme une famille. Il faut savoir apprécier les forces de la nature, par contre, de nos jours, les divorces sont communs et les mariages moins nombreux. L’amour existe aussi parmi les plus pauvres, l’amour c’est aussi la liberté, mais pour être libre il faut aussi pouvoir se nourrir et se vêtir. Il est bien vrai que dans les pays riches qu’il est très couteux de pouvoir suivre un rythme constructif considérant aussi le niveau de taxation et d’imposition nécessaire pour de multiples services et un filet sociale adéquat, mais il est bien honteux de rester figer devant les famines mondiales.
Je crois en Dieu et je crois que les leçons vieilles de milliers d’années sont toujours valables. Je crois que l’ancien testament de la bible annonce et que le nouveau dénonce tous manques, et complète le dessin divin. La force invisible qu’il faut retenir c’est celle qui a bien voulu se manifesté, elle a inspiré des écrivains et elle a ainsi laissé un recueil de livres pour éclairer l’humanité.
Pour bien des gens il est facile de croire en Dieu, et pour eux il n’était pas nécessaire de méditer sur le sujet. Il ne faut que regarder la vie, la complexité de tous les corps, que ce soit les minéraux, les plantes, les créatures, les plus petits insectes et même les microbes jusqu’aux plus gros mammifères, l’instinct des bêtes et l’intelligence supérieur des hommes. Tous a une fonction et je crois qu’elle est de vivre. L’homme a un avantage dans cet environnement de la mère nature où si on le veut bien, la théorie de l’évolution lui a donné l’esprit de réflexion, cet esprit a connu un réveil historique lui permettant de transmettre son savoir au travers les âges par l’écriture.
La nature donne tous les exemples à l’homme et tous y est pour bien vivre. On étudie encore les plantes, les insectes, les animaux et on apprend beaucoup de ce monde fabuleux. Il y a la loi du plus fort et il y a aussi des parasites, tous est disponible pour l’étude et le développement de l’homme. Et si tous est soumis à l’homme, que donne l’homme en retour? Quel est le respect de l’homme pour la mère nature et lui-même au travers ses semblables? Un esprit supérieur aurait du construire mieux et détruire moins.
Est-il possible que l’image de l’homme dans la bible est celle à laquelle il faut réfléchir? Où il y a l’esprit supérieur qui donne des leçons et où il y a le bien et le mal et où l’amour conduit à la vie éternelle. On a qu’à regarder autour de soi pour comprendre que l’évolution de l’homme est plus spirituelle ou intelligente que tous ce qui l’entoure…Est-ce que tous dépend de l’amour?
A-t-il fallu de l’intelligence pour créer l’univers? N’est-il pas curieux que tous répond aux lois de la physique que peu étudier l’homme.
Est-ce que la race humaine croit survivre des millions d’années? Pourtant la terre est très âgé elle.
Nos savants peuvent mettre une datte à l’âge de la terre, ce qui nous donne une petite idée de l’âge céleste, maintenant, que serait les connaissances de l’homme qui aurait cet âge en ayant toujours évolué? Pouvons-nous seulement comprendre et admettre la parole de Dieu venu par des hommes inspirés et faite sur mesure pour une compréhension humaine au travers les âges? Il faut croire en l’amour pour croire que Dieu se partage avec des obstinés qui tardent beaucoup à évoluer et louanger.
Évangile selon Saint Luc 22,19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant : "Ceci est mon corps, donné pour vous ; faites cela en mémoire de moi."
Évangile selon Saint Jean 6,48 Je suis le pain de vie.
Épitre aux Hébreux 13,15 Par lui, offrons à Dieu un sacrifice de louange en tout temps, c'est-à-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom.

Béni est le Seigneur Jésus le fils unique de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.

Sunday, June 7, 2009

Être né de nouveau et vivre

L’autre jour une amie virtuelle m’a pose la question à savoir si j’étais né de nouveau, pourtant je m’affirme chrétien. Je me suis interrogé et j’ai cherché à comprendre ce que pouvait être cette réalité, j’ai ouvert mon esprit et mon cœur et ressenti un soulèvement bénéfique pouvant me mené à bon port. Je retiens donc que la force m’entoure et est toujours disponible, on a qu’à compétemment se soumettre pour profiter de la gloire de Dieu.
La gloire de Dieu c’est de la manifesté et de la ressentir; elle existe dans le bonheur de chacun mais aussi dans les peines, les souffrances où l’on porte sa croix. Il est bien de vivre en transmettant la joie et l’espérance mais je constate que les temps n’ont pas changé et il faut toujours porter sa croix et cela nécessite aussi de souffrir pour les autres.
Jésus c’est le philanthrope divin qui a tout donné. Il a parlé en parabole et s’est bien expliqué, il a aussi parlé dans des termes précis pour que tous comprennent ou se l’explique entre eux. « Celui qui aime sa vie la perd et celui qui là hait, la sauve pour la vie éternelle. » Au dernier repas de Pâques, au partage du pain, il a dit en certain termes : « Buvez et manger, faite cela en mémoire de moi ». Je comprends qu’il a dit de soulager sa faim et de se rappelé la nourriture de l’âme, car il est « le pain de la vie » et une « source d’eau vive » et « la lumière du monde ».
Le monde nous presse de tous cotés pour que l’on soit compétitif et performant, donc selon les aptitudes les emploies procurent des rémunérations varié et comme toujours il y a des gens mis de coté de la bonne fortune. Il est pour moi bien évident que le chrétien doit aider les autres spirituellement mais aussi physiquement comme Jésus a dit « Faite cela en mémoire de moi »; il faut se rappelé qu’il a nourri bien des gens. Et si on ne voie pas le malheur proche, les annonces télévisées en font maintes mentions.
Croire en Dieu en ayant tout sans tout partagé n’est pas un réalisme chrétien. La faiblesse de l’homme est de sorte que Jésus demande de haïr sa vie tellement les manques, comme l’égoïsme, sont apparents.
Aujourd’hui on a les capacités pour enrayer toutes famines mondiales. Une courte recherche sur Internet me renseigne que 40 milliards de dollars suffisent, annuellement, pour régler le problème de la faim même si c’est par une nourriture extrêmement rudimentaire. Il s’est perdu en valeur monétaire en 2008 et 2009, dans le monde, à cause d’une crise temporaire, l’équivalent de richesse pouvant pourvoir au soin de base de tous les affamés pour des centaines d’années. Comment peut-on se prétendre chrétien et travaillé à la reconstruction de richesses personnelles au détriment d’attentions pouvant être porté à des être humains en détresse?
Dernièrement on commémorait lu jour J, c’est le 65e anniversaire. Des dirigeants on parlé de bravoure et de sacrifice pour faire régner la liberté et la justice. On a aussi fait mention que le monde était continuellement à refaire, c'est-à-dire à améliorer, qu’il y avait encore des conflits et qu’il fallait se pencher d’avantage sur le problème de la faim dans le monde. Tant de belles paroles pour une cérémonie mais peu de mobilisation. Je caractérise le problème de la faim comme criant. Des armés traversent encore les continents pour aller détruire et tuer et le bénévolat maigre d’éléments et de vivre traverse les continents pour se présenté démuni devant l’ampleur du désastre.
Faut-il se détacher du monde pour plaire à Dieu? Demeuré caché pour mieux prier? Je crois plutôt que la solution réside dans le partage de soi avec les autres comme Jésus a partagé le pain et a dit « Faite cela en mémoire de moi ».

Béni est le Seigneur Jésus le fils unique de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.