Il est bien malheureux que la culture remplace l’âme. L’âme d’un peuple ne devrait pas être sa culture ou même sa langue mais plutôt sa foi. Le monde moderne se pavoise d’ornements culturels ou scientifiques; mais cela n’a pas encore vaincu la mort ou la faim.
L’élite québécoise a réussi à bannir les écoles confessionnelles et s’efforce maintenant à être plus cosmopolite dans ses célébrations; on peu y apprécié un élément plus universel, malheureusement il en demeure qu’un aspect terrestre, et les immigrants, eux cherchent à fortifier leur propres valeurs ancestrales. Quel désespoir devrait s’écrier les québécois aux églises abandonnée, de perdre la plus grande force de l’univers.
Il est vieux le dicton qui dit : « L’habit ne fait pas le moine » et pourtant justement à cause de la robe, apparente ou non, on a laissé pour compte des criminels en liberté. Pour le porteur de mauvais messages on dit : « Ne tirez pas sur moi je ne suis que le messager. » Mais au Québec on s’est efforcé à détruire le bon message comme s’il était trop exigent, ce message d’amour et de fraternité qui donne la vie éternelle.
Il faut croire en Dieu qui donne la vie éternelle. Pour accéder au royaume il suffit de croire en Jésus –Christ et de confesser ses fautes. Croire en Jésus-Christ signifie d’aimer Jésus-Christ et celui qui aime, s’efforce de bien faire. Évidemment que l’on est tous pécheur mais de se confesser à celui qui connais tous c’est de se confesser à tous le monde si on le veut bien. Se confesser dans la croyance du christianisme, c’est d’admettre que Jésus est notre sauveur et par ce même fait on est pardonné.
Jeune catholique, lorsque j’allais à la confesse, le curé me donnait des prières comme pénitence. Aujourd’hui je crois cette doctrine erroné ou mal placé, je crois que la pénitence viens plutôt du repentir et par après, à la confession on devrait se réjouir de l’accueille du Christ et lui manifesté des prières de louange et non de pénitence. Quoi qu’il en soi, il en demeure qu’il s’agit d’un effort de communication individuelle où Dieu connaît les cœurs et le fait de se confesser à u prêtre ou non demeure un choix qui me semble libre.
La liberté est ce que Dieu a choisi pour son peuple où Jésus est la tête de l’Église. Une liberté qui a remplacé une loi écrite qui exigeait des sacrifices, comme l’homme ne connaissait pas d’autres manières de plaire à Dieu. Puis, maintenant une liberté qui doit être inscrite à l’intérieur de chaque croyant, une liberté qui exige aucun sacrifice car Jésus a été sacrifié une fois pour toutes. Comment ne pas vouloir être Chrétien cela me dépasse.
Il demeure qu’il faut porter sa croix, et cela est simple à comprendre, tout ce que Jésus est réputé avoir fait, il la fait pour les autres. Porter sa croix doit signifier oublier on égoïsme et aider les autres. La meilleure manière de progresser doit être en s’entraidant.
Mathieu 16,24 Alors Jésus dit à ses disciples : "Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive.
Béni soit Dieu maintenant et toujours.
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