Monday, May 14, 2012

Quelle histoire de pardon?


Si Job a été juste, Maudit est le monde dans sa désobligeance, oui moi aussi  je suis souvent coupable où le repentir semble retarder. Incapable de proclamer le seigneur à sa valeur la perdition guette, seule la miséricorde divine redonne vie aux égoïstes que sont les faussaires de la vérité, faussaire que nous sommes tous par mauvaise exemple.

Pour moi, le mal s’installe et fait vieillir le corps à en perdre le souffle où les os font mal, l’énergie s’estompe, la lecture a peu de place et la connaissance ne peu que pleurer le mauvais sort. L’abandon de l’espoir nourri le mal qui progresse, le mal triomphe où  Il ne semble rester plus qu’une malédiction, ce qui ne nous convient pas, comme de vouloir tout détruire. Comment vivre dans un monde de vau rien qui ne sait pas reconnaître l’histoire d’un Dieu qui a fait ses preuves de compassion? Parlant de la majorité insouciante qui réclame tout de même les droits de la personne, comment dans un monde sans vrai culte, un monde qui semble meilleur que soi-même par leur joie de vivre, être influant? N’étant plus exemplaire le seul recours est de se voir crucifier sur la place publique et de dire avant de mourir, mais moi je le méritais…Et comment demander grâce après tant de fautes?  

Sommes nous innocent   de ce monde où le pays le plus puissant a créé par dérèglementation des papiers commerciaux qui ont naturellement dépéris, un monde où la mauvaise gestion est récompensée, où les dirigeants publiques se retrouve à l’emploi d’un privé sans scrupule qui ne semble pas, lui, avoir eu à payer une note, un monde qui a créé un fond monétaire international qui oubli maintenant les plus démunis pour renflouer les irresponsables mieux nanti, un monde qui recherche la désobligeance en reportant le blâme sur les autres, comme on se cache à bien des nivaux,  un monde dont la seul raison de vivre semble être le divertissement où les autres n’ont de valeur que par leur présence  semblable?

Et maintenant, au Québec, les étudiants ne veulent plus payer la note. Ils n’acceptent pas les décisions d’un gouvernement élu d’augmenter le coût des droits à la scolarité. Dans une province et un pays qui ne connaît pas la famine, où les soins médicaux sont presque gratuit, en somme où le filet social est extraordinaire, la relève préfère par leur boycottage ou leur grève une espèce d’anorexie ou l’auto mutilation, s’abstenant de progresser intellectuellement pour accéder au marché du travail, brimant aussi la liberté des autres étudiants, perturbant la paix social.  Ils veulent le gèle des frais de scolarité comme il l’on été depuis des années, et pourtant les frais ici sont les moindres au pays, et où ils sont le plus élevé il y a la plus grande participation aux études supérieures lorsqu’ici la participation est la moindre au pays. Le vrai rapport à L’accès aux études n’est donc pas adressé. L’endettement de la société augmente où chacun cherche la non responsabilité. Comment expliquer ce manque d’initiative à porter sa croix pour revivre? Je crois que la réussite a lieu lorsqu’il y a un incitatif, c'est-à-dire l’espoir. Il faut savoir vivre selon ses moyens, et donner une chance à la démocratie pour ne pas enfreindre  la paix sociale. Mais c’est l’amour qui procure la patience et qui recherche la justice. Et si on n’entend pas l’amour qui dit courage ne perdez pas vos meilleurs convictions et reprenez le chemin de l’éducation, si on n’entend pas cette voix, et bien elle peu partir sans qu’on l’ai comprise, comme on oublie aussi le seigneur. Il est facile de voir le seigneur dans tous les gens lorsqu’on pense d’abords aux autres avant soi-même.

Si tous semble politisé, que devient notre paix intérieur? Le débat a déjà eu lieu dans l’ancien testament et le nouveau testament apporte une résolution une fois pour toute. Les règles du nouveau demeurent sévères, c’est pourquoi j’ai peu de chance de réussite même si je ne suis pas toujours ivre ou déplaisant, la patience me manque et je demeure un récidiviste, mais j’espère tout de même développé des fruits, des petits sinon des gros, ce qui peu me valoir la grâce du Seigneur Jésus Christ.

2 corinthiens 5:21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.

Il ne s’agit pas de se laver les mains de ses fautes mais de se prendre en main et de contribuer pour le meilleur des autres, ce qui doit éventuellement nous revenir par un meilleur environnement.

Si on ne mélange pas la politique et l’évangile, il demeure qu’une société démocratique demande beaucoup d’implication, et l’implication non seulement au niveau de conviction mais au niveau de l’amour. Tous les humains sont fait d’amour même si plusieurs on peur d’être menti.

Ce n’est pas la prospérité qui manqué mais la charité. L’évangile est un évangile de charité et non de prospérité sur terre. Tout est évident mais l’évangile demeure voilé pour plusieurs. Si la prospérité semblait être un signe de justification dans l’ancien testament, la charité est la seul justification du nouveau testament et seul le Christ peu nous justifié.

On peu se rappelé la femme pauvre qui donne tout ce qu’elle a au trésor en donnant une petite pièce de monnaie de son indigence. Quel est donc le pourcentage de leur avoir que donnent à la charité les riches d’aujourd’hui, lorsque la charité est synonyme de l’amour, quel est donc l’exemple qu’ils donnent, quel est donc leur vrai souci? Faut-il faire comme eux?

Mais la mode nord américaine est de prêcher l’évangile de la prospérité. Évidemment la foi y est pour beaucoup et le seigneur aime que ses enfants soient heureux et qu’ils élèvent de belles familles tout en donnant l’exemple d’une joie de vivre. Mais qui connais réellement l’évangile lorsque le seigneur a demandé de suivre son exemple : « Aimez vous comme je vous ai aimez »

Personne n’est parfait, nous sommes tous des pécheurs. Malheureusement les mieux nanti préfère pensez qu’à eux même. (Comme on peu le constater avec les étudiants) perdre une session équivaux à perdre un montant déboursé supérieur à l’augmentation, demandé par le gouvernement, amorti sur quelques années, cette augmentation qu’ils protestent. Il me semble évident qu’il y a là un grand manque de charité de la part de jeunes qui n’ont pas encore eu à souffrir de longues périodes, d’années,  pour pourvoir aux besoin quotidiens. Ces jeunes qui préfèrent perturber la paix sociale dans le besoin qui me semble n’être que le besoin de s’identifier, de se voir existant dans se monde où on ne prêche plus la charité et le seigneur Jésus Christ.

Pourtant les études supérieurs ne sont pas pour tout le monde, il faut des aptitudes adjacentes, les autres se retrouvent rapidement sur le marché du travail et paie de l’impôt comme tout les membres aptes au travail, et ces impôts servent entre autre au besoin des étudiants de cours supérieurs, mais qui sont ces tzar ingrats? Il est évident qu’il y en a dans le besoin, mais où est le besoin lorsqu’on se moque d’une session de $2600 dollar pour contester une augmentation d’environ $1500?

Si les finances sont suffisante pour voir un plan nord existé pourquoi y a-t-il des contributions exigé de toutes la population et que les pensions sont reportées à 67 ans? Je n’ai pas de réponse mais les élus de tous les partis avant de vouloir se faire un capital politique semblaient bien s’entendre…

Où sont nos idéaux et notre avenir comme concitoyen lorsqu’on empêche l’éducation aux plus intéressés? Ce que le monde a de besoin c’est plus d’amour.

Évangile de Jésus-Christ selon St Jean 12,44 Alors, Jésus s'écria : « Celui qui croit en moi, ce n'est pas en moi qu'il croit, mais en Celui qui m'a envoyé ;

Jésus est béni!
Que la paix soit avec vous!

Révélation 22,21 Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!