Thursday, February 25, 2021

La vie, quel sacrifice?


Je ne crois pas que la vie doit être un sacrifice. il faut avoir la joie de vivre, sinon la vie serait une punition lorsqu’elle est plutôt un don de Dieu, donc une bénédiction. Mais que dire des malheureux, comment pouvons nous les bénir d’une vie heureuse?

 

Il y a tellement d’handicapé et de malade, comment est-il possible de les soulager? Il faut prier pour eux, pour que le seigneur les garde. Il y a des manchots sans même de jambes qui louangent le seigneur et donne même des conférences. Il y a des gens qui sont très fort.

 

Certains bon gens prennent à la légère le christianisme et vont dire que la religion est l’opium des pauvres, mais cela me semble être une insulte au bon sens où on oublie la grâce pour soi-même; ça me semble un peu prétentieux même pour celui qui pratique des bonnes oeuvres, de se croire si bon en étant athées et nanti. Le christianisme est pour tous le monde.

 

La grâce est ce qui nous soutient sur terre pour rejoindre la paix à venir, elle nous provient du seigneur Jésus qui nous démontre combien le Père nous aime et nous garde pour que l’on puisse vivre en toute quiétude et profiter de la vie présente. Comme Jésus nous dit par l’entremise de Paul, celui à qui il a enlever la vue physique lorsque celui-ci s’appelait Saul, pour aussi changer sa conception de la justice et faire de lui, après lui avoir redonner la vue, une propagation du renouveau avec une nouvelle vision où il proclame que (Romains 3:23) la miséricorde est pour tous. Oui, la miséricorde est là pour tous ceux qui se repente, et même les irréfléchis.

 

C’est la désobéissance qui nous identifie au péché où on pratique le mal au détriment d’un plus grand bien; et souvent le mal n’est nuisible que pour celui qui le pratique. la justice c’est la charité où on aime vraiment son prochain comme soi-même. La justice règne et doit exister selon ce qui nous est possible de faire. 

Même si les porteurs de la plus grande vérité semble être un reste calculable dans un monde d’innombrable individus, il demeure toujours la prière et la grâce. (1 Corinthiens 13:3) Heureusement que Paul nous assure que la charité existe au delà le martyr ou le sacrifice personnel, c’est que l’on peut élever sa famille en toute quiétude, selon notre état d’âme où notre bon vouloir prend des forces avec la prière.

 

Personnellement, je suis souvent troublé, mais je conçoit bien que plusieurs sont heureux à louanger le seigneur, et moi aussi j’ai mes moments où le seigneur m’est le plus chère. Seulement, je dois continuellement combattre les tentations et contré la solitude, contré la pauvreté, mais je suis même riche devant les maintes mendiants de mon cartier à qui je ne donne que des miettes en argent, et d’eux j’entend parfois une bénédiction en remerciement, mais quel bêtise de donner si peu? Je demeure dans un logement miteux  depuis plus de deux décennies où je combat des bestioles, c’est comme une maladie contagieuse où on ne reçoit personne de peur de les contaminé. J’ai une maladie des articulations qui a nécessité une opération et possiblement d’’autres, je suis souvent impatient et stressé, parfois colérique, ma mémoire s’effrite, je lit peu et parfois je cherche même â sauter des lignes pour lire plus rapidement, ma conscience devient altérée de lacunes, mes yeux ont du trouble et mon ouï aussi, je travail pour gagner ma vie comme on dit et parfois je suis épuisé, mais je me considère très chanceux.

 

Luc 21

36 Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d'échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l'homme.

 

Romains 11

31 de même ils ont maintenant désobéi, afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi miséricorde. 32 Car Dieu a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous.

 

Les premiers chrétiens mettaient tous en commun, il était à mon avis les premiers communistes ou socialistes. Comme les familles qui partagent un repas à la même table sous un même toit, les premiers chrétiens vivaient heureux. Mais on ne retient pas cette notion du partage que nous a enseigné le Seigneur où la chaleur familiale était au coeur de l’existence. Il faut se rappelé les nombreux passages de l’évangile où le seigneur a partagé le pain.

 

Aujourd’hui, il semble que l’on peut avoir mille et un intérêts avant de se soucier de son âme. Les mauvaises pensés peuvent elles aussi être un surplus d’intérêts qui nous font oublier et négliger la vérité de la grâce? On se distrait à l’extérieur de nos heures de travail où on s’érige parfois des idoles artistiques, sportives, politiques et autres; parfois on réussi aussi bien que ceux qui nous ont inspirer, mais je crois qu’il est primordiale de remercier là le seigneur. 

 

Une personne ou un personnage, c’est ce qui nous rejoint où il est possible d’imiter du moins en rêve le champion. Il est humain de vouloir se coller à soi-même ce qui représente le meilleur des exploits humains comme un enfant qui apprend de ses parents. Mais Notre plus grand espoir se confirme où nos prières s’adresse à Dieu, la Trinité; la Trinité qui est Un en essence et trois en personne: Le Père qui garde l’autorité, le Fils obéissant, et l’Esprit rassembleur qui nous inspire et nous rappel le seigneur (Jean 14:26)  Jésus (Jean 14:9); trois personne qui nous entourent et nous garde en famille, trois concept en un qui nous invite à la charité familiale. La grandeur spirituelle de Dieu nous garde dans tout ce qui nous est humainement compréhensible.

 

Mais qui se tourmente pour être éloigné du juste partage? La gloire personnel devient la reconnaissance rechercher souvent avec la luxure et la cupidité. Comme les politiciens les plus hauts cherchent souvent à laisser leur marque pour la postérité, une marque parfois peu symbolique sans appart vraiment sociale. Mais quel déraisonnement adoptons nous? Il faut surmonter ce qui est périssable et se faire des amis avec les fausses valeurs. Il est pourtant possible de tout avoir lorsqu’on garde la gloire du Christ devant nous où l'espoir mène à Dieu. Béni est le seigneur Jésus, Emmanuel. Mathieu 1;23 Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Ce qui rappel Ésaïe 7:14.

 

Certains gens affirment que si Dieu existait Il n’aurait pas admis tel ou tel souffrance humaine, mais cela est bien irréfléchi. Il appartient à chacun de nous d’alléger la peine de l’autre pour la gloire du seigneur qui s’est approché de nous, et cela par amour et compassion.

 

1 Corinthiens 1

22 Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse: 23 nous, nous prêchons Christ crucifié; scandale pour les Juifs et folie pour les païens, 24 mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs.

 

Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!