Friday, October 31, 2014

La nature dépend de Dieu...


Leucochloridium paradoxum, derrière ce nom barbare se cache un ver parasite au cycle de vie déroutant. Les Leucochloridium ne peuvent se reproduire que dans le système digestif des oiseaux, où ils atteignent leur forme adulte. Ils pondent alors des œufs, qui sont expulsés dans la nature avec les fientes de leur hôte. Une fois que les larves éclosent, tous leurs problèmes existentiels résident dans cette seule question : « comment revenir à l’intérieur d’un oiseau ? ». Pour y parvenir, elles suivent un plan particulièrement tordu. Tout d’abord, elles attendent qu’un escargot veuille bien consommer la déjection dans laquelle elles se trouvent. Une fois à l’intérieur du gastéropode, les larves remontent le système digestif de ce dernier pour aller se loger dans ses yeux. C’est alors qu’un phénomène impressionnant se produit : en grandissant, les larves transforment l’œil de l’escargot en excroissance multicolore et pulsatile qui évoque la forme d’une chenille. Les oiseaux se jettent alors sur ce qu’ils croient être une proie, absorbant au passage une nouvelle escouade de vers prêts à se reproduire. Le cycle peut ensuite recommencer…
Que dire de la sélection naturel de Darwin? Le moindre que je peu dire c’est que la nature ne pense pas  par elle-même. Tous est savants. Il est donc plutôt question de création au lieu d’évolution. Deuxième lettre de St Pierre Apôtre Traduction liturgique 2013  3,8      Bien-aimés, il est une chose qui ne doit pas vous échapper : pour le Seigneur, un seul jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un seul jour. Il faut bien comprendre l’esprit de la lettre qui dit que le Seigneur est intemporel. Puis comment pouvons-nous expliquer la nature sans l’intervention d’une intelligence. Il me semble aussi vraisemblable que la nature sert d’exemple, ou si on le veut, de parabole, elle sert de laboratoire pour le développement de l’humanité, un développement qui évolue au fur des âges mais pas nécessairement de la meilleure façon spirituel. Si la nature est parfois impitoyable avec la loi du plus fort, on y remarque aussi beaucoup de choses étranges où les exemples sont multiples. L’humanité est au sommet de la nature et développe ses sciences, mais la foi demeure la même où Dieu assiste. L'existence va au delà la nature terrestre.

Cette histoire d’oiseau me fait aussi penser à la parabole du semeur :
Évangile de Jésus-Christ selon St Matthieu Traduction liturgique 2013  
13,3 Il leur dit beaucoup de choses en paraboles : « Voici que le semeur sortit pour semer. 13,4 Comme il semait, des grains sont tombés au bord du chemin, et les oiseaux sont venus tout manger. 13,5 D'autres sont tombés sur le sol pierreux, où ils n'avaient pas beaucoup de terre ; ils ont levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde. 13,6 Le soleil s'étant levé, ils ont brûlé et, faute de racines, ils ont séché.13, 7 D'autres sont tombés dans les ronces ; les ronces ont poussé et les ont étouffés. 13,8 D'autres sont tombés dans la bonne terre, et ils ont donné du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un. 13,9 Celui qui a des oreilles, qu'il entende ! »

Explication :

Évangile de Jésus-Christ selon St Matthieu Traduction liturgique 2013  
13,18 Vous donc, écoutez ce que veut dire la parabole du semeur.13,19 Quand quelqu'un entend la parole du Royaume sans la comprendre, le Mauvais survient et s'empare de ce qui est semé dans son coeur : celui-là, c'est le terrain ensemencé au bord du chemin. 13,20 Celui qui a reçu la semence sur un sol pierreux, c'est celui qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie ; 13,21    mais il n'a pas de racines en lui, il est l'homme d'un moment : quand vient la détresse ou la persécution à cause de la Parole, il trébuche aussitôt. 13,22 Celui qui a reçu la semence dans les ronces, c'est celui qui entend la Parole ; mais le souci du monde et la séduction de la richesse étouffent la Parole, qui ne donne pas de fruit. 13,23 Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la Parole et la comprend : il porte du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un. »


Évangile de Jésus-Christ selon St Jean Traduction Semeur   14- 12 Vraiment, je vous l’assure : celui qui croit en moi accomplira lui-même les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes parce que je vais auprès du Père.13  Et quoi que ce soit que vous demandiez en mon nom, je le réaliserai pour que la gloire du Père soit manifestée par le Fils. 14 Je le répète : si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. 15 —Si vous m’aimez, vous suivrez mes enseignements. 16 Et moi, je demanderai au Père de vous donner un autre Défenseur de sa cause, afin qu’il reste pour toujours avec vous : 17 c’est l’Esprit de vérité, celui que le monde est incapable de recevoir parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas. Quant à vous, vous le connaissez, car il demeure auprès de vous, et il sera en vous. 18 Non, je ne vous laisserai pas seuls comme des orphelins, mais je reviendrai vers vous.

Dieu existe et il s’est identifié comme étant le plus grand libérateur par sa présence sur terre en la personne de son fils Jésus. Déjà il a sauvé le peuple Juif de l’esclavage des Égyptiens, maintenant c’est toute l’humanité qui peu profiter de sa miséricorde. Plusieurs choisissent de ne pas croire en Jésus et au père, espérant vivre au maximum de tout ce qui peu être mondain ou jouissance terrestre. Malheureusement, on le répète : L’argent ne fait pas le bonheur. Il faut évoluer où la charité est la plus grande force.

Les québécois vont qualifier le péché comme étant une insignifiance prétentieuse, croyant que l'athéisme est plus constructif que de se plier à la loi de la perfection, une loi d’abord rigide dans l’ancien testament, une loi qui aujourd’hui n’a plus aucune sanction, grâce à la présence du seigneur Jésus. La miséricorde pour avoir manquer de charité est toujours disponible car Dieu aime tous le monde et il l’a prouvé par sa présence en la personne du rédempteur Jésus.

L’humanité est toujours primitive et le concept de sacrifice pour apaiser Dieu nous est tous bien familier lorsqu'on se rappel celui des peuples anciens qui sacrifiait des animaux sur l’hôtel. Mais où était le sacrifice? Était ce le sang de l’animal ou dans le bien pécuniaire perdu? Il s’agissait de vitalité que tous ne pouvait pas se payé. Le sacrifice du christ est disponible pour toute l’humanité pour tous les siècles. Le sacrifice du christ semble être un sacrifice du père pour lui-même, il prouve son amour à l’humanité par notre adoption où le christ nous soigne de nos erreurs.
Dieu est amour et il nous demande d’évoluer par amour dans l’amour. Il faut suivre le plan de Dieu où le Père connaissait Jésus depuis le début de la création.

Jésus est béni!

Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!