Jésus est la lumière du monde (Jean 8:12)

Romains 10: 17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.

Sunday, June 14, 2009

L'amour sur terre et dans les cieux

Tant qu’il y aura un homme sur terre qui fera du mal à un autre, le repentir sera nécessaire. Le sens de la croix c’est, un sang divin qui enlève la nécessité de tous sacrifice sauf celui de louange, c’est le chemin de la résurrection. L’envoyé de Dieu, le fils unique, l’exemple humain à suivre et le servant du Père qui rachète toutes incompréhensions, qui rachète aussi les affronts de celui qui le regrette, aura son plein sens dans le but d’améliorer la condition humaine pour une vie prolongée sur terre et dans les cieux.
Les hommes, trop souvent, ne peuvent s’empêcher de se glorifier au détriment de l’autre, et Dieu a rien à faire de la gloire de l’homme, Dieu est omniscient et n’a pas même besoin des prières de l’homme, mais il reconnait ce qui est méritoire. Dieu aime et Dieu sauve. Jésus est la pleine réalité des choses et a vécu sa réalité sans feindre.
Il y a bien des questions que l’on peut se poser et différentes affirmations à considérer, en voici quelques unes sans développement...
Est-ce-que Dieu existe?
Que sont les mérites de l’homme? L’homme est-il vraiment sans mérite devant Dieu?
Combien de fois avons-nous entendu dire quelque chose comme : Si Dieu existait vraiment il ne permettrait pas tant de souffrances?
Y a-t-il une vie après la mort?
Y a-t-il des esprits invisibles?
Il y a pourtant beaucoup de croyance dans l’invisible et pas toutes sont spirituelles, comme l’astrologie, L’ésotérisme, la pensée positive qui attire le positivisme universel.
Bien des philosophies sont des modes de vie sans vrai spiritualité.
Bien des hommes instruits ont étudié plusieurs philosophies, ce qui aide à avoir l’esprit critique ou à savoir distinguer ce qui nous convient vraiment.
Une chose qui fascine toujours l’humanité par son mystère, c’est la mort et la survie de l’esprit ou de l’âme et l’existence d’esprits.
Maintenant! Certains hommes, athées de toutes sortes soumis à diverses contraintes de la vie, sont satisfaits de vivre et ensuite de mourir pour l’éternité; des hommes dont le sens moral est aussi varié, ne sont pas sans grands apports au développement d’une société. Mais pour ceux qui croient en des forces invisibles dont entre autres l’astrologie, l’ésotérisme, la pensée positive qui attire le positivisme universel, il faut reconnaître que l’on peut s’approcher à différentes échelles de valeur et que, pour plusieurs, la plus grande admet une hiérarchie estimant une nature spirituelle et une intelligence qui se manifeste.
L’homme, surtout en sa jeunesse, est trop préoccupé à expérimenter sa vie où l’exigence naturelle lui rappel la procréation et les convoitises incitent les ambitions. Mais tout jeune on a la capacité de réfléchir et de reconnaître la situation de nos parents et du monde environnant. L’homme veut être aimé, les psychologues le reconnaissent et nous sommes tous d’accord. Je crois donc qu’il est plus naturel pour l’homme d’aimer que de haïr, mais je crois qu’il aime se limiter où il se reconnaît pleinement et que l’étrange lui cause, par choix, de l’adversité.
Toutes les civilisations sont politisées c'est-à-dire munies de règles sociales et de lois; des lois toujours en vigueurs dates de milliers d’années et certaines sont les mêmes que celles de Dieu comme tu ne tueras pas ton prochain, tu ne voleras pas. Oubliant la politique, ce qui caractérise les civilisations ce sont ses arts culturels et aujourd’hui plus commercialisé que jamais. L’art peu être le coté bohème de l’homme, le moyen de se réalisé et de partager sans vouloir conquérir, mais la chanson et la musique a vu naître des idoles qui font fortune et les goûts variés sont questionnables d’une génération à l’autre ; la mode a ses mannequins préférés, les athlètes les mieux payés peuvent nourrir des centaines de milliers d’affamés avec leurs centaines de millions de dollars.
Tant de vanité pour faire 1$, on oublie l’invisible, on se laisse emporter par les arts et l’action pour prendre soin du numéro 1, soi-même. Le besoin est pressant de développer ses aptitudes pour être performant dans le chef d’œuvres des puissants; on oublie l’invisible comme les affamés, et cela comme toujours, et on se moque de la mort pour triompher de la terre; et cela où le spectateur demeure en admiration. Il faut se poser la question qui traite du bien et du mal. Y a-t-il un monde qui a à gagner de la charité ou de l’insouciance de l’homme?
On peu croire ou ne pas croire en Dieu, mais l’homme est fait pour aimer. Maintenant qu’elle valeur donne-t-on à l’amour? Malheureusement trop de publicité associe l’amour à la sexualité, et c’est pourtant une vérité où l’homme tisse des liens et forme une famille. Il faut savoir apprécier les forces de la nature, par contre, de nos jours, les divorces sont communs et les mariages moins nombreux. L’amour existe aussi parmi les plus pauvres, l’amour c’est aussi la liberté, mais pour être libre il faut aussi pouvoir se nourrir et se vêtir. Il est bien vrai que dans les pays riches qu’il est très couteux de pouvoir suivre un rythme constructif considérant aussi le niveau de taxation et d’imposition nécessaire pour de multiples services et un filet sociale adéquat, mais il est bien honteux de rester figer devant les famines mondiales.
Je crois en Dieu et je crois que les leçons vieilles de milliers d’années sont toujours valables. Je crois que l’ancien testament de la bible annonce et que le nouveau dénonce tous manques, et complète le dessin divin. La force invisible qu’il faut retenir c’est celle qui a bien voulu se manifesté, elle a inspiré des écrivains et elle a ainsi laissé un recueil de livres pour éclairer l’humanité.
Pour bien des gens il est facile de croire en Dieu, et pour eux il n’était pas nécessaire de méditer sur le sujet. Il ne faut que regarder la vie, la complexité de tous les corps, que ce soit les minéraux, les plantes, les créatures, les plus petits insectes et même les microbes jusqu’aux plus gros mammifères, l’instinct des bêtes et l’intelligence supérieur des hommes. Tous a une fonction et je crois qu’elle est de vivre. L’homme a un avantage dans cet environnement de la mère nature où si on le veut bien, la théorie de l’évolution lui a donné l’esprit de réflexion, cet esprit a connu un réveil historique lui permettant de transmettre son savoir au travers les âges par l’écriture.
La nature donne tous les exemples à l’homme et tous y est pour bien vivre. On étudie encore les plantes, les insectes, les animaux et on apprend beaucoup de ce monde fabuleux. Il y a la loi du plus fort et il y a aussi des parasites, tous est disponible pour l’étude et le développement de l’homme. Et si tous est soumis à l’homme, que donne l’homme en retour? Quel est le respect de l’homme pour la mère nature et lui-même au travers ses semblables? Un esprit supérieur aurait du construire mieux et détruire moins.
Est-il possible que l’image de l’homme dans la bible est celle à laquelle il faut réfléchir? Où il y a l’esprit supérieur qui donne des leçons et où il y a le bien et le mal et où l’amour conduit à la vie éternelle. On a qu’à regarder autour de soi pour comprendre que l’évolution de l’homme est plus spirituelle ou intelligente que tous ce qui l’entoure…Est-ce que tous dépend de l’amour?
A-t-il fallu de l’intelligence pour créer l’univers? N’est-il pas curieux que tous répond aux lois de la physique que peu étudier l’homme.
Est-ce que la race humaine croit survivre des millions d’années? Pourtant la terre est très âgé elle.
Nos savants peuvent mettre une datte à l’âge de la terre, ce qui nous donne une petite idée de l’âge céleste, maintenant, que serait les connaissances de l’homme qui aurait cet âge en ayant toujours évolué? Pouvons-nous seulement comprendre et admettre la parole de Dieu venu par des hommes inspirés et faite sur mesure pour une compréhension humaine au travers les âges? Il faut croire en l’amour pour croire que Dieu se partage avec des obstinés qui tardent beaucoup à évoluer et louanger.
Évangile selon Saint Luc 22,19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant : "Ceci est mon corps, donné pour vous ; faites cela en mémoire de moi."
Évangile selon Saint Jean 6,48 Je suis le pain de vie.
Épitre aux Hébreux 13,15 Par lui, offrons à Dieu un sacrifice de louange en tout temps, c'est-à-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom.

Béni est le Seigneur Jésus le fils unique de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.

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