Jésus est la lumière du monde (Jean 8:12)

Romains 10: 17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.

Thursday, January 8, 2009

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Le monde industrialisé d’aujourd’hui ne pense qu’à s’échapper dans l’espoir d’une vie meilleur. Une vie de consommation est disponible et les mœurs se ressemblent d’une démocratie à l’autre où il y a trois niveaux de société, riche, moyenne, pauvre.
Au Québec les pauvres sont protégés par un filet sociale qui pourvoi à leur bien-être. Aider les autres ne dépend plus de soi, on se dégage même de la charité disant que c’est l’affaire du gouvernement, politisant cette dernière elle perd son nom et devient solidarité, qui devient à l’occasion, sans scrupule, un outil aussi pour les gouvernements de droites qui veulent voler la gauche et solliciter les électeurs plus pauvres et les syndicats, concevant entre autre un gouvernement du centre quelconque.
Les gouvernements sont formés d’hommes, d’élus et d’élues, il en va de soi que leur humanité est mise en cause selon leur différentes charges, mais la charité demeure une affaire individuelle, elle ne subsiste pas sous une forme mécanique. La charité n’est pas de l’administration mais une question de conscience et chacun doit s’y reconnaître. Je ne fais que soumettre librement ces propos et chacun peut y distinguer son rendement.
La charité demeure une affaire individuelle sans but lucratif, elle est la valeur interne de l’amour et de la spiritualité sous une forme pure. Notre monde moderne est tellement bombarder de publicités commerciales pour influencer le plus de consommations possibles qu’il en va de soi que l’oublie des humains malheureux de régions plus lointaines demeure. Les misérables, même proche, ne rejoignent pas non plus notre conscience convoitée, elle, par l’annonce du prochain besoin artificiel. Le besoin de nouveauté et la vie intense nous est continuellement raconté. Il faut savoir demeurer judicieux, c'est-à-dire de profiter à juste mesure de ce qui nous est disponible, que ce soit pour le travail ou le loisir.
Les loisirs sont importants et stimulants, qu’ils soient sportifs ou artistique, statique ou énergétique, créateur ou rêveur et spectaculaire. Il y a beaucoup de partage et de talents portés en valeur entre citoyens du monde moderne, mais on oublie même chez soi les plus bas du dernier rang de notre société et même les malades et divers solitaires de différents niveaux. Il y a tellement d’abandonnés ou de négligés  où tous va si vite et nos caprices si convoités que l’on oublie depuis toujours les orphelins.
Comment expliquer tant de bêtises dans un monde aussi riche qui se veut de façons des plus humanitaires presque qu’à la recherche de l’utopie. Quelques décennies  passées on rêvait au Québec d’une société de loisir, une vrai risée, égoïste, où la réalité a su refroidir les ardeur devenues presque culturelles. Pourtant, c’est exactement ce que l’on vie de façon clandestine où l’on repousse ce qui nous ennui à l’arrière plan.
Pour les orphelins on profite de l’ouverture mondiale pour trouver des bébés de notre goût et on inflige de lois les plus proches, leur enlevant trop de chances pour recevoir les richesses de l’enfance, ce besoin d’aimer et d’être aimer.
Les enfants et les adultes de pays ou régions en famine compte aussi peu l’hors d’une descente de ski, une joute de hockey, une partie de balle. Les gastronomies abondent, les relaxations au cinéma et le théâtre, les spiritueux et les danses, tout se mari en toute quiétude. Depuis de milliers d’années on nous enseigne de partager ses richesses. Notre monde est-il vraiment moderne, qu’en est-il de notre évolution? Deutéronome 24 :20 Si tu gaule tes oliviers, tu n’y reviendras pas grappiller; ce qui restera sera pour l’émigré, l’orphelin et la veuve.

Jésus est béni!
Que la paix soit avec vous!
Révélation 22,21 Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!

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