Thursday, June 24, 2010

Il faut s’impliquer ou se reconnaître responsable

Vivre sans rejoindre, vivre seul, le réveil est moins intéressant ou consistant que le rêve qui se dissout. Vivre à l’écart sans barreaux visible, l’espace devient fermé et l’air plus toxique. Que faire d’une journée férié ou de vacance, remarquer la chance des autres ou se plaindre de son sort? Il faut sortir et toucher ses semblables, apprécier l’entregent des autres, mais la maladie est physique comme elle peut aussi être mentale et la fatigue se fait valoir pour démontrer l’inaptitude face à l’amour.
La haine et les propos qui l’accompagnent sont à mettre de coté et il faut être heureux des richesses de l’humanité qui nous entoure. Il s’agit de s’oublier soi-même mais aussi d’oublier les faiblesses des autres, ces faiblesses pareilles aux nôtres comme tous les défauts que l’on peut imaginer. Il faut être heureux du bonheur des autres et oublier que soi-même on a rien, ce qui finalement enrichi.
Que dire d’une solitude mérité, que Job a subit pire sans mérite? Mais quel repentir avoir face à la mort et au calvaire mérité, la prière pour la miséricorde et la grâce? Mais que devient la vie, Un reflet de malédiction où seule la pénitence compte? Et, la sélection naturelle devant les meilleures forces de l’éternité, L’espoir ou le désespoir?
Il faut toujours espérer dans le pardon divin, comme un homme digne qui se repent avec toute humilité comme David le cœur brisé et non comme un écervelé semblable à un animal battu qui ne cesse de chialer ou grogner ne reconnaissant pas son maître. Qu’avons-nous à se croire repousser injustement lorsque l’on se rappel les exemples bibliques : Le Seigneur Jésus, Job; la sainteté et la justice est ce que préconise l’enseignement biblique, donc qui sauve sa vie la perd, mais il faut surtout se rappeler la grâce, c’est la raison d’être du chemin de croix qui a conduit à la résurrection. Il ne faut pas faire exprès pour pécher même s’il y a toujours la grâce, mais il ne faut surtout pas se penser oublier lorsque l’on se reconnaît comme en disgrâce.
Le cœur brisé est humble et s’ouvre à la miséricorde divine tandis que l’égo cherche toujours à se faire valoir même s’il cour à sa perte. Que dire de la sélection naturel et du premier rang que détient l’humanité? Le développement de l’intelligence est un plaisir céleste lorsqu’il y a un juste mariage avec le cœur, la foi, l’espérance. Aujourd’hui, et possiblement depuis que l’homme existe, le mépris pour la source vitale universel mais terrestre augmente. On brûle maintenant le pont de nos origines en gaspillant la nature tel l’ozone, les mers où les zones mortes océaniques augmentent. Il m’est évident que l’égo est à l’origine des catastrophes humaines et que l’hypocrisie où l’irresponsabilité humaine devient une échappatoire égocentrique où on clame l’innocence par cause d’ignorance. À quel point l’arrogance de l’homme provient elle du subconscient, c’est une chose toujours difficile à expliquer, mais il demeure certain que la culture de chacun d’entre nous provient d’un choix.
Poursuivre son choix, c’est se développé selon ses propres intentions, évidemment on est tous sujet d’être influencer par notre entourage mais il demeure que l’honnêteté dépends aussi de reconnaître ses fautes ou ses torts, donc il faut aussi réfléchir et apprendre des autres lorsque l’on s’aperçoit qu’ils ont raison, mais surtout il faut prier et demander d’être éclairer par Dieu qui a raison sur tout. Évangile selon Saint Matthieu 11,29 Chargez-vous de mon joug et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez soulagement pour vos âmes.

Béni est le Seigneur Jésus le fils de Dieu, fait homme, mort et ressuscité par le Père pour le salut de toute l’humanité.

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