Je ne crois pas que la vie doit être un sacrifice. il faut avoir la joie
de vivre, sinon la vie serait une punition lorsqu’elle est plutôt un don de
Dieu, donc une bénédiction. Mais que dire des malheureux, comment pouvons nous
les bénir d’une vie heureuse?
Il y a tellement d’handicapé et de malade, comment est-il possible de
les soulager? Il faut prier pour eux, pour que le seigneur les garde. Il y a
des manchots sans même de jambes qui louangent le seigneur et donne même des conférences. Il y a des gens qui
sont très fort.
Certains bon gens prennent à la légère le christianisme et vont dire que
la religion est l’opium des pauvres, mais cela me semble être une insulte au
bon sens où on oublie la grâce pour soi-même; ça me semble un peu prétentieux
même pour celui qui pratique des bonnes oeuvres, de se croire si bon en étant athées
et nanti. Le christianisme est pour tous le monde.
La grâce est ce qui nous soutient sur terre pour rejoindre la paix à
venir, elle nous provient du seigneur Jésus qui nous démontre combien le Père
nous aime et nous garde pour que l’on puisse vivre en toute quiétude et
profiter de la vie présente. Comme Jésus nous dit par l’entremise de Paul,
celui à qui il a enlever la vue physique lorsque celui-ci s’appelait Saul, pour aussi changer sa conception de la justice et faire de lui, après lui avoir redonner la vue, une
propagation du renouveau avec une nouvelle vision où il proclame que (Romains 3:23) la miséricorde est pour tous. Oui, la
miséricorde est là pour tous ceux qui se repente, et même les irréfléchis.
C’est la désobéissance qui nous identifie au péché où on pratique le mal
au détriment d’un plus grand bien; et souvent le mal n’est nuisible que pour
celui qui le pratique. la justice c’est la charité où on aime vraiment son
prochain comme soi-même. La justice règne et doit exister selon ce qui nous est
possible de faire.
Même si les porteurs de la plus grande vérité semble être un reste
calculable dans un monde d’innombrable individus, il demeure toujours la prière
et la grâce. (1 Corinthiens 13:3) Heureusement que Paul nous assure que la charité existe au delà le martyr ou le sacrifice personnel, c’est que l’on peut élever sa
famille en toute quiétude, selon notre état d’âme où notre bon vouloir prend
des forces avec la prière.
Personnellement, je suis souvent troublé, mais je conçoit bien que
plusieurs sont heureux à louanger le seigneur, et moi aussi j’ai mes moments où
le seigneur m’est le plus chère. Seulement, je dois continuellement combattre
les tentations et contré la solitude, contré la pauvreté, mais je suis même
riche devant les maintes mendiants de mon cartier à qui je ne donne que des
miettes en argent, et d’eux j’entend parfois une bénédiction en remerciement,
mais quel bêtise de donner si peu? Je demeure dans un logement miteux
depuis plus de deux décennies où je combat des bestioles, c’est comme une
maladie contagieuse où on ne reçoit personne de peur de les contaminé. J’ai une
maladie des articulations qui a nécessité une opération et possiblement
d’’autres, je suis souvent impatient et stressé, parfois colérique, ma mémoire
s’effrite, je lit peu et parfois je cherche même â sauter des lignes pour lire
plus rapidement, ma conscience devient altérée de lacunes, mes yeux ont du trouble et mon
ouï aussi, je travail pour gagner ma vie comme on dit et parfois je suis
épuisé, mais je me considère très chanceux.
36 Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la
force d'échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout
devant le Fils de l'homme.
…31 de même ils ont maintenant désobéi,
afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi
miséricorde. 32 Car Dieu a renfermé tous les hommes
dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous.
Les premiers chrétiens mettaient tous en commun, il était à mon avis les premiers communistes ou
socialistes. Comme les familles qui partagent un repas à la même table sous un
même toit, les premiers chrétiens vivaient heureux. Mais on ne retient pas
cette notion du partage que nous a enseigné le Seigneur où la chaleur familiale
était au coeur de l’existence. Il faut se rappelé les nombreux passages de
l’évangile où le seigneur a partagé le pain.
Aujourd’hui, il semble que l’on peut avoir mille et un intérêts avant de
se soucier de son âme. Les mauvaises pensés peuvent elles aussi être un surplus
d’intérêts qui nous font oublier et négliger la vérité de la grâce? On se
distrait à l’extérieur de nos heures de travail où on s’érige parfois des
idoles artistiques, sportives, politiques et autres; parfois on réussi aussi
bien que ceux qui nous ont inspirer, mais je crois qu’il est primordiale de
remercier là le seigneur.
Une personne ou un personnage, c’est ce qui nous rejoint où il est
possible d’imiter du moins en rêve le champion. Il est humain de vouloir se
coller à soi-même ce qui représente le meilleur des exploits humains comme un
enfant qui apprend de ses parents. Mais Notre plus grand espoir se confirme où
nos prières s’adresse à Dieu, la Trinité; la Trinité qui est Un en essence et
trois en personne: Le Père qui garde l’autorité, le Fils obéissant, et l’Esprit
rassembleur qui nous inspire et nous rappel le seigneur (Jean 14:26) Jésus (Jean 14:9); trois personne qui nous entourent et nous garde en
famille, trois concept en un qui nous invite à la charité familiale. La
grandeur spirituelle de Dieu nous garde dans tout ce qui nous est humainement compréhensible.
Mais qui se tourmente pour être éloigné du juste partage? La gloire
personnel devient la reconnaissance rechercher souvent avec la luxure et la
cupidité. Comme les politiciens les plus hauts cherchent souvent à laisser leur
marque pour la postérité, une marque parfois peu symbolique sans appart
vraiment sociale. Mais quel déraisonnement adoptons nous? Il faut surmonter ce qui est périssable et se faire des amis avec les fausses valeurs. Il est pourtant possible de tout avoir lorsqu’on garde la gloire du Christ devant nous où l'espoir mène à Dieu. Béni est le seigneur Jésus, Emmanuel. Mathieu 1;23 Voici, la vierge sera enceinte, elle
enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu
avec nous. Ce qui rappel Ésaïe 7:14.
Certains gens affirment que si Dieu existait Il n’aurait pas admis tel
ou tel souffrance humaine, mais cela est bien irréfléchi. Il appartient à
chacun de nous d’alléger la peine de l’autre pour la gloire du seigneur qui
s’est approché de nous, et cela par amour et compassion.
…22 Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse: 23 nous, nous prêchons Christ crucifié; scandale pour les Juifs et folie
pour les païens, 24 mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés,
tant Juifs que Grecs.
Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!
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