dimanche 16 septembre 2012
Dieu existe!
Dieu existe
et la fin est proche, après les tribulations, mille ans de paix. Du noir
obscure, ces ténèbres où subsiste mon étincelle de l’espérance, je ne suis rien
sans Dieu. Je ne peu me reconnaître crédible tant qu’à ma logique et mon amour sans l’aide
de Dieu. En toute solitude, j’ai tout à aimer en admiration devant la
supériorité du Christ et encore là je ne peu me dire si aimant tellement je
peux être désobéissant; je dois faire plus d’efforts dans le droit chemin pour
vivre de la lumière et de la chaleur.
Dans cette
vie intolérable, où les démunis sont mis de coté, Il faut être insensible ou
hypocrite, du moins réservé et insouciant pour être bien heureux. En ai-je fait une raison de m’automutiler en
sabotant ma meilleure orientation, prétexte à une solidarité où mon propre
désarroi me garde pauvre sans grands
fruits? Ou est-ce vraiment la providence qui passe outre ma conscience pour
m’être continuellement néfaste? Ou est-ce
un rappel à ma conscience? Épître aux Hébreux Bible de
Jérusalem 12,11 Certes, toute correction ne
paraît pas sur le moment être un sujet de joie, mais de tristesse. Plus tard
cependant, elle rapporte à ceux qu'elle a exercés un fruit de paix et de
justice. Il ne faut pourtant pas être mal à l’aise devant la bonne
fortune, mais plutôt glorifier et remercier le seigneur. Si l’argent n’est pas
nécessaire pour apprécier les gens qu’on rencontre, que dire des démunis que sont
aussi ceux des autres pays où le malheur est sans mesure où nos dons sont peu
apparent malgré leur faible existence, où nos prières doivent aussi existées? Il est sans service, c’est à dire inutile de maudire
sa mauvaise fortune comme de blâmer l’humanité, même si Dieu nous demande de se
séparer du monde. Il faut trouver le bon sens du monde et cela dépend de
chacun.
Mais que
dire des démons lorsqu’une voix m’obsède depuis des années pour me dire très
riche financièrement même millionnaire; est-ce de l’autosuggestion païenne, un
mépris du subconscient pour faire agir conséquemment et en arriver au bien-être
personnel? Cette voix qui me dit
millionnaire, est-ce une figure de style, une métaphore comparant mon sort à
celui des plus démunis qui meurt littéralement de faim, suis-je millionnaire en
comparaison ? Suis-je outré pour les autres pauvres ou pour mon propre sort? Ce
sort qui m’oppresse régulièrement me rendant consciemment frustré en
déséquilibre, même assoiffé de ce qui a été constant, cette désolation
personnelle? La séparation entre moi et ces voix est trop impersonnelle,
et je ne suis pas un nouveau malade, un nouveau qui a besoin d’aide, même
céleste. Dois-je comprendre que la métaphore d’être millionnaire est reliée à
l’amour du Christ pour ceux qui le reconnaissent? Cet amour qui est au dessus
toutes richesses terrestres. Mais
qu’avons-nous à partager et pouvons-nous vraiment profiter de la vie? Profiter
de la vie, c’est aussi profiter de l’occasion d’aider les autres, les quêteurs
du coin sont un bon début.
J’écoutais
l’autre jour quelqu’un qui disait que le chrétien était le seul à recevoir une aide extra à lui-même que
toute les autres religions sont plutôt basée sur une volonté personnel. Il est
d’une grande inspiration cet homme mais il demeure qu’il faut aussi être
persistant dans sa foi.
Je comprends
ici comment les québécois se sont désistés du meilleur chemin. Ils ont cru en
cette force qui doit dominer les plus fervents comme les prêtres, et qu’à la
vue du manque de devoir de plusieurs fautifs, les québécois sont devenu désillusionnés
et ils ont choisi, comme dans la parabole du semeur, de suivre le chemin le
plus large et le plus facile. Pour que Dieu soit en nous, il faut lui gardé une
place. Malheureusement je suis pécheur comme tout le monde, Il faut se raviser
pour que Dieu soit bien en nous, il faut donc faire des efforts pour se
reconnaître sauvé.
La colère de l’homme ne sert en rien Dieu, c’est Jacques qui a dit cela dans une épitre (Jacques 1,20), ce fils du tonnerre, comme il est
qualifie dans l’évangile (Marc 3,17), lui qui
voulait aussi brûler un village qui avait refusé l’hospitalité au Christ (Luc 9,54). Mais que dire de toutes ces colères
personnelles que je ressens lorsque je suis méprisé, ou que je fais de
mauvaises décisions? S’en est ridicule comment ça peu désintéresser le
seigneur.
En résumé
il faut savoir porter sa croix. Le seigneur a donné l’exemple, mais est-ce que
cela signifie qu’il faut en mourir? Non car Jésus a fait le sacrifice pour que
la vie nous soit aussi belle. Épître de Saint Paul aux
Colossiens Bible de Jérusalem 2,12
ensevelis avec lui lors du baptême, vous en êtes
aussi ressuscités avec lui, parce que vous avez cru en la force de Dieu qui l'a
ressuscité des morts. Et pourtant il y a bien des âmes en éternel souffrance.
Où peu se situé notre foi? Si l’humanité ne peut rejoindre et soulager des
êtres souffrants, pourquoi une telle création? Et bien qui sommes nous pour
critiquer lorsque le seigneur soignait tous les malaises et qu’il a promis ce
don à ses disciples (Mathieu 10,8), et qui sont
ceux qui ont créé tant de souffrances avec des guerres toujours existantes. Et
que sont les québécois avec tant de maisons du Père qui sont pratiquement
abandonnées, c’est à dire les églises le dimanche au matin? Pourtant la
formation est grande où il faut étudier et pratiquer. Épître
de Saint Jacques Bible de Jérusalem 1,22
Mettez la Parole en pratique. Ne soyez pas
seulement des auditeurs qui s'abusent eux-mêmes !
Il faut
savoir trouver la paix malgré nos malheurs et nos joies et surtout savoir la
partagée.
Que la
grâce du seigneur Jésus soit avec tous!
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