Jésus est la lumière du monde (Jean 8:12)

Romains 10: 17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.

Friday, July 2, 2010

Un comme nous somme un

L’amour et le pardon est ce qui rend l’homme heureux. Lorsqu’on aime les autres et que les autres nous aiment on est heureux. Lorsqu’on ne souffre pas de rancune ou qu’on ne souffre pas d’avoir léser quelqu’un, on est heureux. Il est essentiel pour l’homme d’aimer. Certains vont affirmer que le sexe et l’argent sont ce que l’on recherche, mais ce ne sont que des artifices pour atteindre le vrai bonheur. L’homme est plus qu’un animal, malheureusement, une bête trop intelligente ne peu que tous détruire.

Le manque de confiance envers les autres est ce qui brime l’espoir d’une union universelle et constructive. Pourtant, on a compris que l’union fait la force, c’est la raison d’être des sociétés puis des nations, mais pourquoi y a-t-il tant de division entre chaque peuple, langue, culture, mœurs? Le développement de chacun s’est fait différemment. Si tout sur terre vari, lorsque l’on recherche l’excellence on se rapproche de l’unique, que ce soit la beauté ou la résistance d’un diamant ou le sacrifice par amour.

L’amour reconnaît le summum. L’homme a l’intelligence et l’amour, et pourtant il a continuellement détruit ce qui l’entour, que ce soit d’autres peuples et aujourd’hui la nature. L’homme est donc plutôt une bête qui réagi au lieu de l’intelligence avec amour. La bête suit le plus fort et ne connaît pas la justice, cette justice que l’homme favorise en reconnaissant qu’il doit aider les plus faibles, mais pourtant le règne animal protège ses faibles par la maternité qui ensuite élève le rejeton, et le male de bien des espèces est aussi actif à ce niveau pour protéger sa petite famille.

Que dire du niveau de valeur humaine, où l’on reconnaît l’intelligence et l’amour au-delà l’instinct? Il est aberrant de retracer l’histoire pour remarquer les guerres à ne plus finir, et encore aujourd’hui. Des milliers d’années d’histoires où l’épée faisait la loi, et aujourd’hui on peu faire sauter la planète… La loi du plus fort fini toujours par s’effriter au détriment d’un autre, mais on demeure reconnaissant devant le serviteur obligeant.

Quelle obligation avons-nous face à la nature et tous les êtres qui nous sont semblables? Il faut plus que de l’appréciation, que de la reconnaissance. Si l’union universelle est désirée par le Christ auprès du Père, est-il possible de simuler cette union sur terre où on pourrait incorporer la nature? Mais cette nature est sauvage, tout s’entre mange. Somme nous satisfait d’être une bête, la plus féroce et meurtrière ou avons-nous à nous mater individuellement et ensuite espérer accéder à l’univers plus conciliant et sans hargne. Comment pouvons- nous nous réconcilier avec Dieu?

Aussi faible qu’est l’homme, il a une conscience où il doit se défaire des remords. Le regret et le désir de remédier au tort causer est ce qui rejoint le bon, mais le mauvais s’en échappe avec l’oublie ou en clamant la malédiction. Aussi, avons-nous établi des lois civiques qui protègent nos acquis et droits établis. Mais je me rappel avoir lu au début de l’arrivé de l’informatique où l’on contait l’évolution de certaines sciences, que la politique était la science qui avait le moins évolué…Évidemment!

Maintenant, si on ne peut évoluer, il faut reconnaître que l’on a besoin d’aide. Dieu est fidèle, c’est qu’il est là pour nous. Sa parole est dans la bible où il faut distinguer le nouveau de l’ancien testament. Si Jésus n’est pas venu abolir mais accomplir et que pas un point sur un i ne change, il a aussi dit qu’on ne met pas de vin nouveau dans de vielle outre. Il faut comprendre que les us et coutumes de l’ancien, autant qu’ils ont été véridiques, autant ils peuvent le demeuré, mais qu’il faut néanmoins reconnaître le nouveau et savoir s’adapter. Ceux qui apprennent tout, n’ont qu’à reconnaître le nouveau et à revoir son annonciation dans l’ancien.

Jésus est venu pour tous le monde, mais le besoin criant demeure toujours chez les opprimés. Il a du se faire un opprimé pour rejoindre tous le monde… (Isaïe plus de 700 ans avant Jésus-Christ)Isaïe 52,13 Voici que mon serviteur prospérera, il grandira, s'élèvera, sera placé très haut. 52,14 De même que des multitudes avaient été saisies d'épouvante à sa vue, -- car il n'avait plus figure humaine, et son apparence n'était plus celle d'un homme -- 52,15 de même des multitudes de nations seront dans la stupéfaction, devant lui des rois resteront bouche close, pour avoir vu ce qui ne leur avait pas été raconté, pour avoir appris ce qu'ils n'avaient pas entendu dire.

Isaïe 53,1 Qui donc a cru à ce que nous avons entendu dire? Le bras du Seigneur, en faveur de qui a-t-il été dévoilé? .

53,2 Devant Lui, celui-là végétait comme un rejeton, comme une racine sortant d'une terre aride; il n'avait ni aspect, ni prestance tels que nous le remarquions, ni apparence telle que nous le recherchions. Devant Jésus il y a eu Jean Le Baptiste

53,3 Il était méprisé, laissé de côté par les hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, tel celui devant qui l'on cache son visage; oui, méprisé, nous ne l'estimions nullement. Les gens à l’aise ignorent les opprimés.

53,4 En fait, ce sont nos souffrances qu'il a portées, ce sont nos douleurs qu'il a supportées, et nous, nous l'estimions touché, frappé par Dieu et humilié. Aujourd’hui encore, on préfère se laver les mains plutôt que dépenser ou se dépenser pour les autres.

53,5 Mais lui, il était déshonoré à cause de nos révoltes, broyé à cause de nos perversités: la sanction, gage de paix pour nous, était sur lui et dans ses plaies se trouvait notre guérison. C’est ce que l’on devrait voir et reconnaître chez les misérables, que les petits du monde paient souvent la note pour ceux qui prospèrent.

53,6 Nous tous, comme du petit bétail, nous étions errants, nous nous tournions chacun vers son chemin, et le Seigneur a fait retomber sur lui la perversité de nous tous. Aussi bête que l’on peut être, Dieu peu nous pardonné.

53,7 Brutalisé, il s'humilie; il n'ouvre pas la bouche, comme un agneau traîné à l'abattoir, comme une brebis devant ceux qui la tondent: elle est muette; lui n'ouvre pas la bouche. Des gens souffrent jusqu’à la mort sans qu’on les aide.

53,8 Sous la contrainte, sous le jugement, il a été enlevé, les gens de sa génération, qui se préoccupe d'eux? Oui, il a été retranché de la terre des vivants, à cause de la révolte de son peuple, le coup est sur lui.

53,9 On a mis chez les méchants son sépulcre, chez les riches son tombeau, bien qu'il n'ait pas commis de violence et qu'il n'y eût pas de fraude dans sa bouche. Jésus représente les innocents.

53,10 Le Seigneur a voulu le broyer par la souffrance. Si tu fais de sa vie un sacrifice de réparation, il verra une descendance, il prolongera ses jours, et la volonté du Seigneur aboutira.

53,11 Ayant payé de sa personne, il verra une descendance, il sera comblé de jours; sitôt connu, juste, il dispensera la justice, lui, mon Serviteur, au profit des foules, du fait que lui-même supporte leurs perversités.

53,12 Dès lors je lui taillerai sa part dans les foules, et c'est avec des myriades qu'il constituera sa part de butin, puisqu'il s'est dépouillé lui-même jusqu'à la mort et qu'avec les pécheurs il s'est laissé recenser, puisqu'il a porté, lui, les fautes des foules et que, pour les pécheurs, il vient s'interposer.

Suite au soixante dix ou soixante douze disciples (dépendamment de la traduction), envoyés par Jésus et qui sont revenu de leurs victoires sur le mal : Évangile selon Saint Luc 10,21 A cette heure même, il tressaillit de joie sous l'action de l'Esprit Saint et il dit : "Je te bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre, d'avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l'avoir révélé aux tout-petits. Oui, Père, car tel a été ton bon plaisir.

Suite à une critique des Pharisiens qui méprisaient les collecteurs d’impôts et d’autres pécheurs: Mathieu 9,13 Allez donc apprendre ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, et non le sacrifice. En effet, je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs."

Les Juifs étaient le peuple choisi car Dieu s’est fait connaître auprès d’eux appréciant aussi l’obéissance d’Abraham. Ils on du combattre pour exister parmi de grandes puissances adoratrices de futilités. Leur histoire est emplie de gloires comme de fautes, d’espoir mais aussi d’abandon, tous est dans la bible pour rejoindre le Christ, ce sauveur dont on ne recherche pas suffisamment aujourd’hui. Pourtant il est du Père et fidèle et là pour tous; il faut bien le connaître pour mieux le manifesté.

Dans la bible, tout est raconté pour enseigner le meilleur développement possible pour l’humanité, que ce soit pour vivre sur terre ou pour accéder à la vie éternelle auprès du Père céleste. Malheureusement, pareil à jadis, plusieurs en sont toujours au même stade, comme l’explique la bible, la chaire est faible: Les convoitises tel la luxure, la cupidité, vont influencer les ambitions au détriment de l’amour pour les autres.

La bible engage à se prévaloir d’un sentiment de dévotion où l’on doit construire, on rappel la pierre angulaire et les fondements solides à l’égard du Christ. La bible dénonce les erreurs de l’humanité comme La recherche facile et insensée que peuvent avoir les hommes de pouvoir où les bras vont dépasser l’intelligence. L’ignorance ou l’insouciance porte généralement vers une perte, dans la genèse, l’infaillible se produit et cause la dispersion racontée avec la tour de Babel.

Jésus Christ est le seigneur d’un rassemblement ordonné où l’accessibilité est toujours disponible. La foi et le repentir est tout ce qui est nécessaire pour obtenir la grâce, le rendement qui en suit dépend de la persévérance. L’ordre ou la discipline, qui permet d’apprendre et de suivre la parole, dirige dans le droit chemin où l’amour rend tous plus facile, mais, pécheurs que nous somme, il faut continuellement se reprendre; il faut se rappeler Pierre qui ne croyait jamais être faible, mais qui a renié Jésus trois fois le même soir. Certains gens athées se déclarent juste et méritoire de toute splendeur, même après la mort si possible, mais est-ce là la volonté divine? Je suis d’accord de dire que le Père connaît les cœurs, mais celui qui connaît le Christ doit aussi se reconnaître tellement fautifs et espéré en la miséricorde.

Le jardin d’Éden est chose du passé, l’utopie accessible est maintenant céleste, sur terre il existe de plus en plus de destructions, malgré tout, l’enseignement de la parole persiste mais encore là, les gens de pouvoir n’ont pas nécessairement la meilleur idéologie en s’appropriant d’une religion populaire, d’autres espère en faire fortune. Influencé par un entourage peu honnête qui se cache même derrière les meilleurs concepts, il ne faut pas tomber désillusionné car il faut apprendre de soi-même les richesses de la parole. Si on reconnait les torts d’un prêcheur, il faut aussi savoir qu’il n’est qu’un homme, il faut vérifier la valeur du message. Il faut oublier la cupidité et garder le meilleur chemin en perspective.

Le christianisme est la religion la plus complète; de la charité enseignée on protège son prochain et par la bonne nouvelle on acquière la vie éternelle. Si l’humanité tout entière se prévalait de la charité pour exister, il n’y aurait pas de guerre ni de famine car l’entraide dominerait pour le meilleur développement de tous. Si l’agressivité n’existait pas pour détruire mais seulement pour construire, il m’est évident que la science se serait autant développée et que les pertes de temps et d’énergie dépensées pour reconstruire auraient servi plutôt à pousser plus vers l’avant et avec plus de respect de la nature on doit en convenir.

Suite au dialogue avec le jeune homme riche qui avoue être honorable de ses agissement, mais que Jésus lui reproche son manque de sauvegarde à l’égard des pauvres, lui niant la pleine ouverture pour l’éternité, Jésus lui garde une option.

Saint Matthieu 19,26 Fixant son regard, Jésus leur dit : "Pour les hommes c'est impossible, mais pour Dieu tout est possible

Évangile selon Saint Jean

6,57 De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Manger le Seigneur c’est de vivre selon ses principes, c’est de reconnaître que l’humanité peu survivre grâce à lui. On peu se rappelé le déluge et Noé.

10,9 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.

14,6 Jésus lui dit : "Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi. L’insignifiance de l’homme n’a de vraie valeur qu’en l’unité qui fait la force. Le Tout Puissant offre la vie éternelle par l’unité avec lui-même et la perfection humaine et obéissante de son fils Jésus. Il n’y a que le fils de l’homme qui peu témoigner des faiblesses du monde auprès du Père, c’est ainsi que le Créateur a conçu son œuvre.

À l’approche de la passion, Jésus prie pour ses disciples : Évangile selon Saint Jean 17,21 afin que tous soient un. Comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi, qu'eux aussi soient en nous, afin que le monde croie que tu m'as envoyé.

Évangile selon Saint Jean 14,23 Jésus lui répondit : "Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera et nous viendrons vers lui et nous nous ferons une demeure chez lui.

Béni soit Dieu maintenant et toujours.

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