Si tu n’aime pas ton frère que tu vois comment peut tu aimer
Dieu que tu ne vois pas?
Qui est ton prochain? En principe, la réponse est tout le monde car on ne peut pas juger les autres et on ne sait pas
qui peut nous venir en aide. Évidemment, il vient à l’idée la parabole du bon
samaritain où l’adversaire ethnique fait preuve de charité; le samaritain devant
le juif se présente sauveur de l’âme du juif où la leçon de la sauvegarde
de l’âme terrestre se transmet dans la marche à suivre pour la sauvegarde de
l’âme spirituelle de tous le monde. C’est par de bon soins pour les autres que
l’on doit procéder là où il faut chercher l’Esprit Saint en soi pour rappeler la vérité aux autres. Alors c’est par la charité
qu’il faut reconnaître son prochain, c’est en mettant de côté les préjugés que
l’on peut accéder à la communication de la grâce. De chercher la charité ne
veut pas dire de laisser les autres dans l’erreur, au contraire, si on ne sait
pas toujours bien donner l’exemple, il faut du moins savoir et vouloir
transmettre la vérité que l’on connaît juste.
Il y a tellement de controverses dans notre monde où l’on peut essuyer
des attaques où les polémiques écrites ou verbalement manifestées peuvent
surgir de parts et d’autres entre nos relations avec tous individus ou
ensembles; on se croit à distance des guerres et pourtant elles sont toujours
là dans le monde. Il faut savoir se rallier où en sommes il n’y a qu’une seule
vérité, celle de la justice qui ne cherche que l’appart vitale, cette appart
qui reconnaît l’autre comme soi-même où il faut savoir participer de son mieux
à la réalisation de la paix sous le regard de Dieu. Il m’est invraisemblable que l’on omet l’existence d’un
créateur, et qu’Il nous soit aussi bien intentionné. Par exemple, le seigneur rachète la descendance d’Abraham.
Comme pour bien des gens durant cette pandémie, la solitude devient
évidente. Puis, en temps normal, je vie souvent dans l’erreur où je
trouve regrettable que je ne trouve pas la chance de m’exprimer où j’aimerais
avertir par mes connaissances de l’existence de notre seigneur et les mauvaises
expériences à éviter. Encore, j’abuse parfois de l’alcool en publique, c’est à
dire dans les bars, le seul endroit qui m’est familier où rencontrer des gens,
ce qui peu se résumer à la barmaid, et je peux lui affirmer quoique très
rarement et frauduleusement avec l’ivrognerie que je ne suis aimer par
personne, évidemment il y a personne pour partager ma vie de façon intime et
ironiquement où je vais la barmaid est lesbienne. Mais comment vouloir élaborer
une leçon lorsqu’en somme je ne fais que pleurer sur mon sort? Je ne peux là
qu’exagérer les faits, mais quel malheureux que je peux être? Par contre,
j'essaye de me remettre et de tirer leçon de mes erreurs.
Il est évident que l’amour existe tout autour de nous. Il faut donc
savoir parler de façon franche car les autres peuvent rapporter nos propos et
faire du commérage où la bisbille ou l’égarement peut être de fortune. Il faut donc comprendre que lorsque le sel s’affadit, il n’est plus bon qu’à être piétiné par les hommes…
Heureusement que je ne pratique pas de façon régulière les abus de
boissons, mais à chaque fois que cela m’arrive je risque d’en demeurer hanter.
Je gagne mon pain de façon ouvrière où l’effort physique me taxe. Dans cette
pandémie, il devient bien difficile de se relaxer ou de se divertir.
Heureusement que je peux me tourner vers la prière et la parole pour me
soutenir. Mais il y a bien des gens qui, sans le reconnaître, font le désir du
seigneur; je pense à tous ces travailleurs de la santé.
Comme il faut apprécier tous ces travailleurs de la santé qui se
manifestent pour la sauvegarde des autres, certains tombent au combat comme on
dit, ils attrapent la covid, tombent en dépression ou ont toutes sortes
d'inconvénients. Il faut donc prendre son mal en patience et espérer pour le
mieux. Il est bien malheureux que l’on aie mis de côté l’évidence de la lumière
éternelle. On tente de rejoindre l’amour et la justice mais plusieurs d’entre
nous ne savent pas où s’agripper. C’est en la
vérité qu’il faut espérer, cette vérité qui doit être en nous et qui est aussi
dans tout l’univers, cette réalité qui nous a donné l’expérience de la charité
divine, cette charité qui peut tout supporter où pour celui qui en est informé
garde l’espérance avec la foi dans Jésus Christ. Je trouve bien
malheureux qu’avec toute la disponibilité que l’on a que les gens ne prennent
pas la peine d’étudier la parole. Il y a ces opprimés païens entourés de
jungles ou de désert qui sont affamés ou malades, et je ne crois pas que le
seigneur les a abandonné au point de ne pas les recevoir dans une autre vie, il
ne peut pas y avoir de réel abandon mais l’enseignement de la grâce est un
grand soulagement. Comment pouvons nous être aussi égoïste avec nos richesses? Il faut combattre le mal par le bien.
Il faut louanger le seigneur Dieu par Jésus Christ où l’Esprit Saint nous fait connaître la vérité de la Parole de Dieu. Il faut savoir prier
pour l’amour de tous et cesser de se croire invulnérable lorsqu’on poursuit
avec les sciences ou les philosophies. Il faut savoir chercher de l’aide où
elle se trouve, il faut donc croire en une sagesse qui dépasse l’ambition
humaine, ces ambitieux qui sont souvent égoïstes pour conquérir. L’évolution
n’est pas seulement physique, c’est notre charité qu’il faut faire évoluer,
c’est la charité qui peut subsister. En québécois j’ai appris en jeune âge que
de se mettre au monde c’est là d’avoir des richesses mondaines, mais il faut
reconnaître qu’elles sont périssables. Il est écrit maudit est
l’homme qui repose son espoir sur ses propres valeurs terrestres. Sûrement, il ne faut
pas croire que Dieu tarde à se faire connaître lorsque tout nous a été défini
il y a plus de deux mille ans où le bonheur est vraiment né..
Maintenant, un sujet de prédilection depuis si longtemps repose sur la
fin du monde. Il y a différentes interprétations à ce sujet de fin des temps
qui est rapporté dans les écritures. J’apprends toujours
moi-même où parfois je me rappelle et me ravise, c’est qu’il faut vivre
au jour le jour; à quoi bon chercher à connaître la fin du monde
lorsque personne ne peut savoir le temps que cela se produira. La seule chose dont
on a connaissance c’est la fin terrestre de chaque individu qui meurt où l’un
est pris et l’autre demeure. On peut donc interpréter les passages bibliques
comme des avertissements personnels où chacun d’entre
nous doit se raviser et poursuivre son repentir.
Mais je crois aussi dans les ensembles, comme l’ensemble de chrétiens
que l’on appelle Église. Malheureusement, au Québec et ailleurs, on a souffert
de mauvaises représentations du seigneur où depuis longtemps des religieux
auraient dû être défroqués, et aujourd’hui ils ne portent même plus de soutane;
évidemment qu’il y a des passages bibliques pour les condamner. Par le christ il
faut croire à la rédemption par le repentir mais Il y a ces ensembles condamnés
dans l’ancien testament, là, pour simplifier, j’imagine un besoin de
colonisation qui demeure pour moi brutale et terrifiant, je pense à ces peuples
anathèmes voués à l’extermination. Jéricho, Sodome et Gomorrhe, la révolte de
Koré.
Si les tribulations sont définitivement personnelles où le repentir est
primordial, il faut aussi se rappeler que la bible comporte différentes
échelles où on tire leçon d’afflictions catastrophiques comme le plus renommé
le déluge où l’humanité se reprend avec le signe de l’arc-en-ciel. Je crois dans les
événements de la fin des temps, d'abords dans des images symboliques pour les
comprendre comme étant personnel où on prend conscience de notre existence
éphémère dans un monde finalement tellement tumultueux et là on se tourne vers
le seigneur pour un monde meilleur, mais je crois aussi qu’il faut prier pour
les autres car l’avertissement est bien donné.
Merci Seigneur pour la naissance de la lumière pour que l’humanité se
reconnaisse en elle, que la célébration de Jésus Christ existe pour l’éternité.
Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous.